đŸȘ Mon Mari Ne Comprend Pas Ma Fatigue Grossesse

Ilne voit pas pourquoi je n'entame pas un vrai régime. Je lui ai expliqué en quoi ça consistait mais il ne Je lui ai expliqué en quoi ça consistait mais il ne Mon mari ne comprend pas | Linecoaching | 12/07/2011 - 16:44
Chaque femme vit la grossesse de maniĂšre trĂšs diffĂ©rente, mais l'un des symptĂŽmes communs Ă  chacune est la fatigue. GĂ©nĂ©ralement, elle apparaĂźt au 1er trimestre, disparaĂźt au second et revient au cours du troisiĂšme trimestre de grossesse. Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidĂ©o. La fatigue pendant la grossesse est un symptĂŽme tout Ă  fait normal et courant. Le problĂšme survient lorsque vous vous sentez tout le temps fatiguĂ©e et que vous ĂȘtes nonchalente jusqu'Ă  ce que vous sortiez du lit. C'est un sentiment difficile Ă  gĂ©rer. Mais pas d'inquiĂ©tude, car il existe de nombreuses astuces que vous pouvez utiliser pour amĂ©liorer cette situation. Certaines sont aussi simples que de changer de rĂ©gime alimentaire ou de faire de l'exercice, et elles vous aideront Ă  combattre la fatigue ! Soyez prĂȘtes, car dĂ©sormais vous n'aurez plus aucune excuse grĂące Ă  nos conseils d' sont les causes de la fatigue pendant la grossesse ?La grossesse est un grand changement pour le corps d'une femme. En mĂȘme temps que les changements physiques, des changements Ă©motionnels et hormonaux se produisent. Emma Cannon, experte en matiĂšre de grossesse et auteur de The Baby-Making Bible, dĂ©clare "La grossesse exige beaucoup d'Ă©nergie de la part de la mĂšre. Les femmes enceintes tirent leur Ă©nergie de leur alimentation, des nutriments contenus dans ces aliments qui sont obtenus par le processus de digestion, du temps qu'elles passent au repos et de leur constitution. Manger et dormir irrĂ©guliĂšrement ou le stress sont les pires ennemis des femmes enceintes, car ils peuvent ĂȘtre les principales causes de leur grande fatigue." Fatigue pendant la grossesse un symptĂŽme courantLe niveau de fatigue varie selon les diffĂ©rentes Ă©tapes de la grossesse, trimestre par trimestre. Il est normal que vous vous sentiez plus fatiguĂ©e pendant les 12 premiĂšres semaines de la grossesse, car c'est le moment oĂč votre corps s'adapte aux changements. Mais le troisiĂšme trimestre peut devenir plus difficile Ă  supporter, car le poids du bĂ©bĂ© augmente et votre niveau d'Ă©nergie diminue en consĂ©quence. Mais rassurez-vous, il n'y a pas lieu de s'inquiĂ©ter. Quoi qu'il en soit, si vous pensez que votre fatigue est inhabituelle ou extrĂȘme, nous vous recommandons de consulter immĂ©diatement votre gynĂ©cologue. MĂȘme s'il n'y a rien de grave, il vaut toujours mieux prĂ©venir avec un contrĂŽle attention Ă  ce que vous mangezComme tout le monde, tout ce qu'une femme enceinte mange a une incidence sur son mĂ©tabolisme. Nous vous recommandons donc d'ajouter Ă  votre rĂ©gime alimentaire des aliments qui vous donnent de l'Ă©nergie. Les essentiels pendant la grossesse sont Les aliments riches en fer comme les lĂ©gumes verts, la viande rouge, les Ɠufs, le poisson et les haricots Les aliments riches en fibres comme l'avoine, le quinoa, les cĂ©rĂ©ales complĂštes et le pain Les protĂ©ines que vous trouverez dans la viande, le poisson et les Ɠufs La vitamine C Bien que de petits plaisirs comme le chocolat puissent vous remonter le moral, les effets ne durent pas dans le temps. Il est donc prĂ©fĂ©rable d'opter pour des aliments qui fournissent une libĂ©ration lente d'Ă©nergie comme les pĂątes ou le de l'exerciceVous ĂȘtes enceinte et fatiguĂ©e, la derniĂšre chose Ă  laquelle vous pensez probablement est de faire de l'exercice... mais pratiquer un sport permet de vous dĂ©tendre et libĂ©rer des endorphines. Faire un peu d'exercice en douceur pendant la grossesse vous aidera Ă  maintenir votre niveau d'Ă©nergie et Ă  combattre la sensation de fatigue. L'expert dĂ©clare "Faire un peu d'exercice rĂ©guliĂšrement est bĂ©nĂ©fique. La marche, la natation, le yoga ou le Pilates pour les femmes enceintes, en particulier."Apprendre Ă  se dĂ©tendreLire, Ă©couter de la musique, prendre un long bain chaud... Cela ne demande aucun effort et votre corps vous en remerciera. Si vous ne dormez pas bien, cela n'affectera pas directement le bĂ©bĂ©, mais une bonne nuit de repos pour la mĂšre est Ă©galement bonne pour le lire aussi Comment bien dormir enceinte ? Les meilleurs conseils de nos experts 5 sports Ă  choisir pendant la grossesse Quelle taille fait mon foetus, semaine aprĂšs semaine ? Insomnie et grossesse comment mieux dormir quand on est enceinte ? Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidĂ©o. VidĂ©o par ClĂ©mence Chevallet
Amon retour j'ai eu droit Ă  "les femmes de maintenant sont pas courageuses elles s’arrĂȘtent pour un rien pendant leur grossesse." Isabelle Isabelle 16 / 35 Bonjour, Je suis maman de deux petits enfants 3 ans et 8 mois que j'adore, en congĂ© parental, je m'en occupe toute la journĂ©e de 7h Ă  22h le petit a du mal Ă  s'endormir. Mon mari rentre du boulot vers 20h30, je prends en charge toute l'intendance de la maisonnĂ©e. Je suis trĂšs fatiguĂ©e car mon mari ne prend aucune initiative, il faut que je lui dise que j'ai besoin d'un peu d'aide car il pense que sa journĂ©e est finie quand il rentre du boulot. En plus, ma belle mĂšre appelle tous les soirs juste au moment oĂč les petits ont besoin de nous histoires, changes etc.. Je n'arrĂȘte pas de me fĂącher et mon mari se braque, il ne comprend pas que je sois exaspĂ©rĂ©e quand sa mĂšre ne veut pas nous lĂącher un peu, et ne comprend pas pourquoi je me fĂąche quand il faut que je lui dise tout ce qu'il doit faire pour m'aider. Du coup, depuis que le deuxiĂšme est nĂ©, dĂšs que je lui dis quelque chose de pas gentil il n'y a que ça qui le fasse rĂ©agir il me fait la tĂȘte durant deux jours moi qui passe mes journĂ©es sans adultes..., et la situation se dĂ©samorce trĂšs difficilement. Il n'a pas encore pris la pleine mesure de son statut de parent, et c'est trĂšs dur pour moi de devoir tout lui dire peux-tu servir aussi la petite, pourquoi est-ce toujours Ă  moi d'aller chercher le bĂ©bĂ© quand il pleure, etc.. Hier je lui ai dit, Ă  bout, que si j'Ă©tais seule avec les petits cela ne changerait rien pour moi Ă  part les finances. Depuis il me fait la tĂȘte et ce soir ça sera la mĂȘme chose. C'est usant de ne pouvoir dire ce qu'on ressent sans avoir un mur. En plus, quand il est fĂąchĂ© contre moi il a tendance Ă  ĂȘtre fĂąchĂ© aussi avec les enfants, je lui dis qu'il ne faut pas tout mĂ©langer. Il se vexe quand je me mets en colĂšre alors que c'est la course le soir avec les petits et que la belle-mĂšre franchement pas fine appelle Ă  ce moment lĂ . Je lui ai dit de lui dire de n'appeler que les week ends, ce serait plus facile pour nous. Je suis trĂšs fatiguĂ©e, limite dĂ©primĂ©e, j'en ai assez d'avoir un 3Ăšme enfant Ă  la maison qui suit, bravement, certes, mais ne prend aucune initiative. J'ai l'impression de tout porter Ă  bout de bras, l'Ă©ducation des enfants, le mĂ©nage, les courses, les lessives, les sorties et jeux des petits, la vie sociale de la famille il pourrait se contenter de son ordinateur et de sa famille...Je suis fatiguĂ©e de tout prendre en charge et qu'il me fasse le tĂȘte quand j'essaie de lui faire comprendre. C'est dur la vie de couple avec enfants, on n'arrive pas Ă  ĂȘtre solidaires mon mari et moi. Il a un boulot trĂšs prenant, mais moi aussi j'ai des journĂ©es longues. Et je reprends le boulot dans une semaine. J'ai plus le moral, c'est trop dur. Merci de m'avoir lue
Jesuis toujours dans ma bulle. Je n’entends plus rien, je vois les choses, mais je ne ressens rien, aucune Ă©motion. C’est bizarre comme sensation : je suis spectatrice de mon accouchement. Le gynĂ©co tente les pinces, puis les ventouses, et enfin dĂ©bloque ma
TĂ©moignage de Oummi anonyme Il Ă©tait une fois une petite oummi un peu tĂȘte en l’air qui oublia de prendre sa pilule ou plutĂŽt qui a eu la flemme de chercher sa pilule Ă  son retour de vacances. Au bout d’une semaine, elle retrouva sa pilule, pensant qu’une semaine d’oubli n’était pas trop grave. Deux mois plus tard, petit retard de rĂšgles et test de grossesse qui se rĂ©vĂšle positif. MachAllah belle surprise ! Elle part consulter le mĂ©decin histoire de voir que tout va bien. Et oh surprise !!! Elle entend dĂ©jĂ  le cƓur de bĂ©bĂ© battre et est enceinte dĂ©jĂ  de 3 mois machAllah oui vraiment tĂȘte en l’air la maman ! Une grossesse idĂ©ale Donc 9 mois plus tard, hamdulillah une belle grossesse sans symptĂŽmes, ni nausĂ©es, ni vomissements, avec un bĂ©bĂ© qui grandit bien .Le top du top en matiĂšre de grossesse ! Allez hop , on attaque l’accouchement J’arrive Ă  une semaine de la DPA et commence Ă  m’affairer pour prĂ©parer la venue de bĂ©bĂ© mais aussi la venue de mes beaux-parents qui arrivent 3 jours avant pour me garder ma petite de 2 ans et venir m’aider car on habite dans une rĂ©gion loin de nos familles respectives. Deux jours avant l’arrivĂ©e de la famille, j’attaque le mĂ©nage Ă  fond et prĂ©pare la chambre d’amis. La veille, je commence Ă  sentir quelques douleurs mais ce n’est pas mĂ©chant ni rĂ©gulier. Le jour d’arrivĂ©e de ma belle-famille, je commence sĂ©rieusement Ă  contracter un peu plus mĂ©chamment. Je me dis Mince ! pas aujourd’hui ! Il faut que je prĂ©pare le tagine et la salade avant qu’ils arrivent ». Je me lĂšve pour le fajr et dĂ©cide d’attaquer mon tagine. Sait-on jamais ! J’en profite pour surveiller les contractions qui commencent Ă  se rapprocher tous les quarts d’heures. Mon mari se lĂšve pour aller au travail et lĂ  je lui dit STOP faut aller Ă  la maternitĂ© mais avant ça je finis de faire Ă  manger. Donc je continue de prĂ©parer tranquillement » mon repas et appelle entre temps la crĂšche pour qu’ils gardent ma petite fille. Tant qu’à faire je donne un petit coup de balai avant le dĂ©part. Monsieur s’interroge et me dit Euh t’es sĂ»re que tu vas accoucher ? Car la je vois que tu pĂštes la forme ! » Si si t’inquiĂšte ! Je gĂšre les contractions. Un accouchement aisĂ© Vers 11h00, dĂ©part Ă  la maternitĂ©. J’appelle ma maman pour la prĂ©venir que son 17Ă©me petit-enfant machĂąAllah va bientĂŽt dĂ©barquer. Au fait c’est un petit garçon au passage . J’arrive Ă  la maternitĂ© sans trop de difficultĂ©. Les contractions viennent toutes les 10 minutes et c’est encore gĂ©rable. Une sage-femme me prend en charge et me dit que le col est ouvert Ă  5 cm. Accouchement imminent ! La sage-femme m’emmĂšne directement Ă  la salle d’accouchement. Il est 12h00, et mes beaux-parents dĂ©barquent dans 15 minutes Ă  la gare . Mon mari panique et ne sait pas quoi faire. Rester avec moi ou aller les chercher Ă  la gare qui est Ă  5 minutes. Moi j’ai tranchĂ© il reste avec moi ! Il va quand mĂȘme les chercher rapidement et revient hamdullilah Ă  temps. Je demande la pĂ©ridurale car les contractions ne sont plus gĂ©rables ! ShootĂ©e Ă  la pĂ©ridurale avec une grosse pensĂ©e pour celui qui a inventĂ© cette technique, je dis Ă  mon mari Tahya la pĂ©ridurale quand mĂȘme ! L’accouchement s’est bien dĂ©roulĂ©, je pousse tranquillement et bĂ©bĂ© arrivĂ© Ă  15h17 machAllah. Un vrai moment de bonheur irremplaçable soubhnAllah. On me dĂ©pose mon petit bĂ©bĂ© sur moi, chaud comme un petit pain et qui vite vite cherche Ă  tĂ©ter dĂ©jĂ  machallah ! J’admire mon cadeau d’Allah et je le trouve juste magnifique
 Normal c’est mon bĂ©bĂ© ! C’est un moment inoubliable machAllah ! J’oublie tout, je dĂ©connecte et je savoure. Jusqu’ici tout va bien
 Me voici dans la chambre avec bĂ©bĂ© entrain de dĂ©vorer un goĂ»ter » car les Ă©motions ça creuse ! Quelques heures plus tard, ma belle-famille arrive et tout le monde est obnubilĂ© par bĂ©bĂ© . »Oh qu’il est beau ! oh tiens il rigole ! oh dis donc il ouvre dĂ©jĂ  les yeux le coquin ! oh mince on dirait bien qu’il a le gros nez de sa maman lol ». Je passe une nuit tranquille avec bĂ©bĂ© fatiguĂ© par l’accouchement et moi aussi .Le lendemain premier bain pour bĂ©bĂ©, la grande soeur dĂ©barque Ă  la maternitĂ© et veut rembarquer aussitĂŽt d’ailleurs !La deuxiĂšme nuit bĂ©bĂ© fait la java et je me dĂ©cide Ă  le donner Ă  la pouponniĂšre pour dormir un peu. A 6 heurea, on me ramĂšne bĂ©bĂ©. Il est trĂšs Ă©nervĂ© car il a faim et moi je n’ai toujours pas ma montĂ©e de lait. Donc patience !A 12h, il se fait ausculter par un pĂ©diatre. Hamdullilah tout va bien. BĂ©bĂ© est fatiguĂ© par sa nuit blanche et son ventre vide. Hamdullilah il se contente du colostrum et s’ reçois de la visite vers 17h et bĂ©bĂ© dort toujours. Une aide-soignante vient pour prendre la tempĂ©rature mais je n’ose pas le rĂ©veiller comme toutes les mamans. Je lui propose d’attendre encore un peu car il est trop fatiguĂ© par son manque de sommeil. Vers 19h, bĂ©bĂ© dort toujours. Je me dĂ©cide Ă  le rĂ©veiller faut pas abuser hein ! et prend sa nickel ! Mais bizarrement bĂ©bĂ© est complĂštement raplala malgrĂ© le fait qu’il soit dĂ©shabillĂ©. J’essaye de le mettre au sein ça y est youyouyou le lait maison » est de retour mais impossible. Il dort toujours en poussant des petits gĂ©missements. Bon je ne m’inquiĂšte pas et le laisse en me disant PurĂ©e c’est un sacrĂ© dormeur lui ! » Des examens suspects A 21h, l’équipe de nuit dĂ©barque et s’étonne que bĂ©bĂ© dorme toujours. Elle tente une mise au sein sans succĂšs. Elle lui prend sa glycĂ©mie et dĂ©couvre une trĂšs forte hypoglycĂ©mie. Elle dĂ©cide de le prendre tout en me disant C’est rien, on va lui donner du lait Ă©nergĂ©tique qui va le rebooster ».Mon mari dĂ©cide de dormir avec moi dans la chambre. Je me rĂ©jouis d’avoir une copine de chambre ! Je lui file un tee shirt XXL oĂč il est Ă©crit » Je suis belle en dormant » ! Bref, malgrĂ© le lait Ă©nergĂ©tique bĂ©bĂ© est et hypotonique. Il ne pleure plus, ne bouge quasiment pas. Ils dĂ©cident de garder bĂ©bĂ© avec eux et appellent un mĂ©decin en urgence qui dĂ©cide de l’hospitaliser en nĂ©onatologie. Aie aie aie je panique, je pleure et culpabilise de ne pas l’avoir rĂ©veillĂ© ! Mince, qu’est ce qui se passe je ne comprends plus rien ! Et l’interne qui en rajoute Mais madame un bĂ©bĂ© il faut le rĂ©veiller toutes les 3 heures ». La chef de service me dira plus tard que ce n’est pas normal qu’un bĂ©bĂ© ne se rĂ©veille pas de lui-mĂȘme pour rĂ©clamer et que ce n’est pas de ma faute. Et toc!BĂ©bĂ© est en nĂ©onatologie avec les prĂ©maturĂ©s, il est sous sonde, perfusĂ© et branchĂ© Ă  pleins de machine. Pendant une semaine, il restera comateux sans pleurer, ni se rĂ©veiller. Au bout d’une semaine bĂ©bĂ© se rĂ©veille et pleure !!! Je suis juste trop contente. Je ne pensais pas que je serais aussi heureuse d’entendre bĂ©bĂ© pleurer non se rĂ©veille tout doucement et reprend ses forces. On reste encore Ă  l’hĂŽpital 3 jours pour voir si tout va bien. Hamdulillah ses analyses sont bonnes .On ne comprend pas trop ce qui s’est passĂ© mais bĂ©bĂ© va bien c’est le principal. Il reste juste une analyse d’urine pour vĂ©rifier le mĂ©tabolisme. Il faut attendre une semaine avant d’avoir les rĂ©sultats. En attendant,on rentre Ă  la maison avec bĂ©bé  et mes beaux-parents qui avaient fini le tagine et qui attendaient la suite ! Un retour mouvementĂ© On rentre donc Ă  la maison alhamdulillah. On passe de bons moments, je profite de bĂ©bĂ©, contente de le retrouver aprĂšs cette grosse frayeur alhamdulillah. Mes beaux-parents repartent dans le sud. Et une semaine plus tard, c’est ma famille qui arrive de Paris. On est vendredi matin, je me lĂšve toute contente de revoir ma maman que je n’ai pas revu depuis un an et prĂ©pare mon tagine. Euh oui mon imagination culinaire, post-accouchement, est limitĂ©e lol. BĂ©bĂ© dort tranquillement et le tĂ©lĂ©phone sonne. Et la BOOMBADABOUM, un appel de l’hĂŽpital pour me dire qu’ils ont reçu les analyses urinaires et que bĂ©bĂ© a une maladie gĂ©nĂ©tique rare du mĂ©tabolisme. Je demande tout de suite quelle est la maladie et on me dit un nom barbare dont je n’ai jamais entendu parler. Et la franchement je suis effondrĂ©e, cassĂ©e en 10000 morceaux. Je ne veux pas y croire. Mon mari n’est pas lĂ , je suis seule et je regarde mon bĂ©bĂ© en me disant Non ce n’est pas possible, il ne peut pas avoir cette maladie. Ils se sont surement trompĂ©s ! Ils ont dĂ» confondre ses urines avec un autre bĂ©bĂ©, c’est sĂ»r ! Ils vont me rappeler pour me dire que tout ça est une erreur. » Le pĂ©diatre me dit qu’il faut ramener bĂ©bĂ© d’urgence pour l’hospitaliser. Et lĂ  tout s’enchaĂźne. Le mĂ©decin m’annonce que je dois arrĂȘter l’allaitement et nourrir bĂ©bĂ© au lait Ă©crĂ©mĂ©. Impossible d’avoir plus d’informations sur sa maladie car il ne la connaĂźt pas et bĂ©bĂ© sera transfĂ©rĂ© vers un grand hĂŽpital Ă  Paris oĂč on sera mieux informĂ© et briefĂ©. Bon ben le sĂ©jour fut court pour ma famille. On est tous reparti Ă  Paris et bĂ©bĂ© dans un hĂŽpital spĂ©cialisĂ©. On attend le professeur pour en savoir un peu plus. Je ne sais pas pourquoi mais j’imagine toujours les professeurs avec des cheveux blancs en pĂ©tard, perchĂ©s sur la Lune et des lunettes de Harry Potter . Bref, on est reçu par le big professeur jeune femme toute petite , douce, et gentille comme tout
 j’ai eu tout faux qui nous dit que bĂ©bĂ© a une maladie grave et lourde, qu’il sera sous rĂ©gime sans graisse Ă  vie et qu’il sera nourri la nuit par une sonde pendant 2 ans. Que c’est un enfant sujet Ă  des comas s’il n’est pas nourri rĂ©guliĂšrement et qui peut faire des arrĂȘts cardiaques Ă  la moindre fiĂšvre. Allahouakbar Allez bimbambadaboum, je refuse d’y croire ben dĂ©cidĂ©ment je suis vraiment une tĂȘte de mule. La vie avec la maladie Aprees 10 jours d’hospitalisation, on revient Ă  la maison avec cette fois-ci un bĂ©bĂ© malade alhamdulillah. Les dĂ©buts furent bien sur un peu difficiles psychologiquement mais alhamdulillah on s’est vite habituĂ© Ă  notre nouvelle vie et Allah nous facilite beaucoup soubhnAllah! Mon petit bonhomme a 3 ans aujourd’hui. Il est toujours sous sonde, sous rĂ©gime et avec un traitement. Il grandit bien machAllah. Comme tout enfant malade, il est trĂšs mature mais il est surtout une vraie source de bonheur pour nous. Il a une joie de vivre incroyable ! Nous attendons un autre bĂ©bĂ© inchĂąAllah. Etant donnĂ© que c’est une maladie gĂ©nĂ©tique nous avons un risque de transmettre la maladie Ă  chaque grossesse Ă  nos enfants. Suite Ă  une amniocentĂšse, Allah par Sa Grandeur et Sa Sagesse a voulu que ce 3Ă©me petit bĂ©bĂ© soit atteint de la mĂȘme maladie. Allah ouakbar Nous acceptons Son DĂ©cret et attendons avec impatience la venue de bĂ©bĂ© pour de nouvelles aventures ! Et pour conclure Ă  travers cet Ă©vĂ©nement, alhamdulillah Allah nous a ouvert les yeux sur beaucoup de choses et nous a rappelĂ© Ă  l’ordre. DerriĂšre chaque Ă©preuve il y a un grand bienfait. Et alhamdulillah je remercie Allah pour tous Ses Bienfaits. Et je ne cesse de me rĂ©pĂ©ter ce verset chaque jour qui est Parfaitement juste » Est-ce que les gens pensent qu’on les laissera dire » Nous croyons! » sans les Ă©prouver ? Plus d’infos La maladie gĂ©nĂ©tique dont il est question dans l’article se nomme l’Acidurie Glutarique de Type 2 ou DĂ©ficit Multiple en Acyl-CoA DĂ©shydrogĂ©nase. mariqui ne comprend pas ma fatigue grossesse Please Share This Share this content. parc de jeux avignon Opens in a new window; montfort l'amaury balade Opens in a new window; clavius aquila valerius niger wikipedia Opens in a new window; les noms musulmans selon les jours de naissance Opens in a new window; salaire universitĂ© de genĂšve Opens

Quelques jours avant l’accouchement Le 21 mars 2014, nous avons l’écho du 7Ăšme mois, le 22 mars, nous allons Ă  l’anniversaire d’un ami, le 23 mars, nous avons la sĂ©ance photos de grossesse avec Frimousse Photo. Je sors sur les rotules de ce weekend, je mets ça sur le compte des sorties Ă  rĂ©pĂ©tition, mĂȘme si les gens me disent que j’ai l’air trĂšs fatiguĂ©e et que j’ai trĂšs mauvaise mine. CrĂ©dit photo Frimousse Photo Le 28 mars, nous allons Ă  la maternitĂ© rendre visite Ă  ma belle-sƓur qui vient d’accoucher. J’en suis Ă  33SA, je suis Ă©puisĂ©e, je compte littĂ©ralement les jours qui me sĂ©pare de ma date prĂ©sumĂ©e d’accouchement, mais je ne me vois pas refuser d’aller voir la cousine de notre bĂ©bĂ©. Il fait une chaleur infernale dans la chambre de la maternitĂ©. Je m’assoie dans un fauteuil, je fĂ©licite les parents, je prends la petite dans mes bras “pour m’entraĂźner” comme tout le monde me dit, mais je me sens mal. La cĂ©lĂ©bration de la naissance continue chez mon beau-frĂšre. Encore de la route, encore des sourires forcĂ©s pour cacher la douleur qui commence Ă  arriver. On me rĂ©pĂšte que j’ai l’air fatiguĂ©e, ce Ă  quoi je rĂ©ponds “Encore 55 jours, je ne sais pas comment je vais tenir le coup”. Finalement, au bout de seulement 1 heure de prĂ©sence, je supplie mon mari pour qu’on rentre Ă  la maison, je n’en peux plus. Il me propose qu’on s’arrĂȘte au McDo sur la route car je n’ai pratiquement rien mangĂ©. Mais je n’ai pas faim, je veux juste me coucher. Le weekend passe. Le 1er avril, je vais chez mon mĂ©decin traitant. Je lui explique que les remontĂ©es acides deviennent insupportables et qu’il me faut quelque chose pour calmer les douleurs car elles m’empĂȘchent de dormir et me nourrir comme il faut. Je ne mange plus mais je bois beaucoup d’eau, malgrĂ© la douleur. Elle me diagnostique une oesophagite, un oesophage brĂ»lĂ© par les remontĂ©es acides, et me prescrit un mĂ©dicament. Elle me prescrit Ă©galement un comprimĂ© contre la constipation qui me gĂȘne et qui expliquerait, selon elle, mon mal aux reins. Mes mains et mes pieds me grattent, d’aprĂšs elle, ce serait liĂ© Ă  une mauvaise circulation du sang. Je rentre chez moi en pensant que tout va rentrer dans l’ordre. CrĂ©dit photo Frimousse Photo Le lendemain, rien ne va mieux. Je ne dors pas, mon corps me semble couvert de bleus. DĂšs que mon mari me touche le bras ou le dos, c’est une torture. Je lui explique que cela fait une semaine que je rĂȘve que je meurs les rares heures de la nuit oĂč j’arrive Ă  trouver le sommeil. Je me sens comme une feuille de papier qu’on froisse avant de la jeter, je sens mon corps me lĂącher. On appelle le mĂ©decin traitant. Elle me conseille de doubler ma dose de mĂ©dicaments et de prendre rendez-vous pour une Ă©cho abdominale si ça ne va pas mieux. Mon mari trouve cette solution stupide et en voyant l’état dans lequel je suis. Il m’aide Ă  m’habiller et me conduit Ă  la maternitĂ©. On est tout de suite pris en charge par une sage-femme pour un monitoring. BĂ©bĂ© va bien, malgrĂ© le fait que je n’ai pratiquement rien mangĂ© les derniĂšres 48 heures. Le mĂ©decin nous remet une ordonnance sur laquelle il prescrit de l’Omeoprazole. J’ai aussi un test Ă  faire en labo en fin de semaine. Le mĂ©dicament m’aide un peu, j’arrive Ă  avaler un peu de nourriture dans la journĂ©e. Le 3 avril, midi arrive et je n’ai rien mangĂ© depuis le soir prĂ©cĂ©dent. Je suis enceinte de bientĂŽt 34SA, il faut que je mange pour mon petit bout. Je me force alors Ă  avaler quelques lĂ©gumes. La premiĂšre bouchĂ©e descend, mais la seconde, je sens tout de suite quelque chose remonter. Je cours aux toilettes et je vomis je ne sais quoi car je n’ai rien dans le ventre depuis un moment. Je suis prise de spasmes violents pendant les vomissements, je suis Ă  moitiĂ© allongĂ©e devant la cuvette des toilettes, mes jambes ont ouvert la porte Ă  cause des spasmes. Une fois le calvaire terminĂ©, j’appelle mon mari en larmes “Il faut que tu rentres, il y a quelque chose qui ne va pas”. Il me rejoint 30 minutes plus tard. AprĂšs un nouveau passage Ă  la maternitĂ©, on me conseille de doubler ma dose de mĂ©dicament et de faire un test sanguin le lendemain. De retour Ă  la maison, j’essaie de me reposer. Vers 21h, mon mari me demande de manger un peu pour moi et pour le bĂ©bĂ©. Il m’apporte une compote que je mange pour lui faire plaisir. Puis je lui demande d’aller rapidement me chercher une bassine. Et pour une petite compote, je vomis toute une bassine de je-ne-sais-quoi. Je dis Ă  mon mari que je vais mourir, je le sais, je le sens. Il rappelle la clinique en panique. Le mĂ©decin au bout du fil n’a pas l’air de prĂȘter grande attention Ă  ce que mon mari lui dit. Il insiste en me disant qu’il ne m’a jamais vu comme ça et qu’il me connaĂźt par cƓur, je ne suis vraiment pas bien. Le mĂ©decin lui demande s’il nous est possible de revenir le lendemain matin car ils n’ont pas de place pour le moment. Il me pose la question et je lui rĂ©ponds OK, je suis trop Ă©puisĂ©e pour me battre contre l’avis du mĂ©decin. Je me recouche, j’ai peur, mais j’essaie de ne pas le montrer. Mon mari reste Ă  cĂŽtĂ© de moi puis va prendre une douche. A ce moment-lĂ , mon tĂ©lĂ©phone sonne. C’est le mĂ©decin de la maternitĂ© qui me dit qu’elle vient d’avoir mon mari, et qu’aprĂšs rĂ©flexion, il serait sans doute mieux que j’aille Ă  la maternitĂ© dĂšs maintenant car elle voit dans mon dossier que j’ai fait un peu de tension pendant ma grossesse. Elle me demande de lui lister mes symptĂŽmes Ă  nouveau. Je lui explique que j’ai des fourmis dans les pieds et les mains Ă  cause d’une mauvaise circulation sanguine, que j’ai mal aux reins Ă  cause de la constipation, que j’ai rĂ©cemment fait de la tension, que je ne peux plus m’alimenter et que je vomis tout ce que je mange mais que je suis tout le temps assoiffĂ©e, que j’ai l’impression que mon corps est couvert de bleus douloureux. Puis je raccroche, mon mari sort de la douche, je lui explique l’appelle du mĂ©decin, on s’habille et on reprend la route de la maternitĂ©. Dans la voiture, il me dit qu’il a comme l’impression qu’on ne rentrera pas Ă  la maison ce coup-ci et qu’ils vont nous garder. J’espĂšre qu’il a tort, mais je me sens tellement mal que je n’espĂšre qu’une chose, qu’on me libĂšre de mes douleurs. CrĂ©dit photo Frimousse Photo La naissance de notre fils En arrivant Ă  la maison de la naissance, on ne demande plus notre route, nous savons oĂč nous devons aller. Je m’assois sur un fauteuil et mon mari va chercher une sage-femme. Je lui rĂ©-explique tout mes symptĂŽmes et c’est reparti pour un monitoring. J’essaie tant bien que mal de me dĂ©tendre pendant l’examen, mon mari ne me quitte pas. J’ai peur
 La sage-femme revient et rĂ©cupĂšre le monitoring sans rien dire et part le transmettre au mĂ©decin. Elle revient et me fait faire un test urinaire. Mon urine est trĂšs foncĂ©e mais je n’y prĂȘte pas attention sur le moment. AprĂšs quelques instants, la sage-femme revient, je vois Ă  son visage qu’elle est embarrassĂ©e. Elle me dit que d’aprĂšs le monitoring, le cƓur du bĂ©bĂ© bas moins vite Ă  chaque contraction et qu’il est possible que j’accouche ce soir mais qu’elle va me laisser voir avec le mĂ©decin. Elle me dit qu’elle va ĂȘtre obligĂ©e de me poser une perfusion. Je suis paniquĂ©e car j’ai eu une trĂšs mauvaise expĂ©rience lors d’une prĂ©cĂ©dente opĂ©ration. L’anesthĂ©siste m’avait piquĂ© 4 fois dans le poignet sans trouver de veine pour finalement me piquer dans le creux du bras. J’explique tout ça Ă  la sage-femme mais elle insiste pour me piquer au poignet. Elle me dit de respirer et je sens la douleur de l’aiguille qui rentre dans mon poignet. Mais elle s’y prend super bien et ça marche dĂšs le premier essai. Puis elle nous accompagne dans une salle de naissance. Pour dĂ©tendre l’atmosphĂšre, mon mari monte sur le lit et me dit “Bon, alors ça fait quoi d’accoucher ?” et il pose ses pieds dans les Ă©triers comme Ross dans Friends quand Rachel va accoucher. Il arrive Ă  me dĂ©crocher un sourire. J’ai peur et en mĂȘme temps, je me dis que mes souffrances touchent sans doute Ă  leur fin donc ça me soulage un peu. Le mĂ©decin entre dans la piĂšce. Ce n’est pas le gynĂ©co-obstĂ©tricien qui nous a suivi jusqu’à prĂ©sent car il n’est pas lĂ  ce soir. C’est une femme, plutĂŽt cool et sympathique. Elle nous emmĂšne faire une Ă©chographie pour vĂ©rifier la position du bĂ©bĂ©, son poids, etc
 Puis on retourne Ă  la salle de naissance. Elle m’explique qu’étant donnĂ© que le cƓur de bĂ©bĂ© bat moins vite Ă  chaque contraction, il va falloir accoucher ce soir. Ok, on prend la nouvelle comme elle vient, de toute façon, si le mĂ©decin le dit, on n’a pas trop le choix que de suivre son avis. J’appelle ma mĂšre. Il est presque 4h du matin mais elle n’a pas l’air endormi du tout, comme si elle s’attendait Ă©trangement Ă  ce qu’il se passe quelque chose ce soir-lĂ . Elle me rassure, me dit que tout va bien se passer et me dit de demander Ă  mon mari de tenir la famille au courant. Je me dĂ©shabille et j’enfile une blouse d’hospitalisation. Puis la gynĂ©co vĂ©rifie mon col. Il est haut, il est fermĂ© et je suis trop Ă©puisĂ©e pour pousser. Conclusion pas question d’accoucher naturellement, ce sera une cĂ©sarienne sous anesthĂ©sie gĂ©nĂ©rale. Elle me demande ma carte de groupe sanguin et quitte la piĂšce. La sage-femme revient pour me faire une piqĂ»re de je-ne-sais-plus-quoi. Apparemment, c’est pour aider la maturation des poumons de bĂ©bĂ©. Je flippe et j’envisage tout les scĂ©narios catastrophes possibles dans ma tĂȘte. Le mĂ©decin revient Ă  son tour avec un rasoir. Elle me rase un petit peu et me dit qu’elle va me poser une sonde urinaire. Ça ne va pas ĂȘtre agrĂ©able, mais l’avantage, c’est que le canal est bien plus court chez les femmes donc c’est plus rapide que chez les hommes je vois mon mari qui grimace, lol. Effectivement, ce n’est pas agrĂ©able, mais ce ne sera pas la pire souffrance du sĂ©jour Ă  la maternité  Le mĂ©decin et la sage-femme sortent de la piĂšce et un homme entre. C’est l’anesthĂ©siste. Il m’explique qu’il va me faire une anesthĂ©sie gĂ©nĂ©rale et que tout se passera bien, puis me donne un mĂ©dicament pour me dĂ©tendre. Il sort Ă  son tour et c’est la pĂ©diatre qui entre. Elle nous rassure Ă©galement et nous explique que c’est elle qui prendra en charge le bĂ©bĂ© dĂšs son arrivĂ©e. Ça y est, il faut y aller. Deux infirmiers arrivent, dĂ©bloquent mon lit et nous partons pour le bloc opĂ©ratoire. On s’arrĂȘte devant une premiĂšre piĂšce. La pĂ©diatre y est, et Ă  cĂŽtĂ© d’elle, une couveuse. Elle m’explique qu’elle rĂ©cupĂ©rera le bĂ©bĂ© Ă  son arrivĂ©e et le mettra dans la couveuse. On continue notre chemin jusqu’à une seconde piĂšce, juste Ă  cĂŽtĂ© de la premiĂšre. J’entends l’anesthĂ©siste dire Ă  mon mari qu’il ne peut pas me suivre. Je commence Ă  trembler comme une feuille, impossible de contrĂŽler mes mains. Mon mari me racontera par la suite qu’il est pris en charge par la pĂ©diatre. Elle le conduit dans une piĂšce pour qu’il puisse se changer et enfiler une tenue stĂ©rile, comme les mĂ©decins. Puis elle l’accompagne dans la piĂšce oĂč se trouve la couveuse, juste Ă  cĂŽtĂ© de la salle oĂč j’attends qu’on m’endorme. Il y a une grande baie vitrĂ©e donc il peut me voir. La pĂ©diatre lui explique que lorsque le bĂ©bĂ© sortira de mon ventre, son cƓur s’arrĂȘtera quelques secondes puis ils le feront repartir mais que c’est normal. Ensuite, on le lui amĂšnera et c’est elle qui s’occupera de le nettoyer, de lui faire tout ses branchements et de le mettre en couveuse. Puis le CHU viendra le rĂ©cupĂ©rer. Elle lui dit de prĂ©parer son smartphone pour prendre des photos. De mon cĂŽtĂ©, les deux infirmiers se prĂ©sentent Ă  moi et me disent que tout va bien se passer. Je leur dis que je suis dĂ©solĂ©e car je tremble trĂšs fortement et de façon incontrĂŽlĂ©e. L’un d’eux me rĂ©pond de ne pas m’inquiĂ©ter, c’est tout a fait normal. Mes bras sont Ă©cartĂ©s de chaque cĂŽtĂ© de mon corps. Il me maintient la main et me pique au creux du bras. Tout Ă  coup, j’entends mon mari derriĂšre moi qui me crie “Je t’aime bĂ©bĂ© !”. Je lui rĂ©ponds au bord des larmes “Moi aussi” mais je ne suis pas sĂ»re qu’il m’ait entendu. Il me dira plus tard qu’il m’a bien entendu et que tout le monde autour de nous Ă©tait trĂšs Ă©mu. L’anesthĂ©siste arrive et me dit qu’il va m’injecter le produit. Il me dit de respirer profondĂ©ment. Je sens quelque chose de chaud dans mes veines. Ma mĂąchoire se crispe et ma tĂȘte par en arriĂšre. Mes jambes se mettent Ă  battre de maniĂšre incontrĂŽlable et Ă  une vitesse folle sur la table d’opĂ©ration. Je ressens une peur immense puis c’est le trou noir. Mon mari me racontera par la suite qu’on l’a fait sortir de la piĂšce derriĂšre la mienne avant qu’on m’injecte l’anesthĂ©siant. Heureusement, car quand je lui ai dit comment je m’étais endormi, il m’ a rĂ©pondu que ça l’aurait encore plus paniquĂ©. Pendant la cĂ©sarienne, il attend dans le couloir et s’assoit sur un lit. Nous ne sommes pas croyants ni l’un ni l’autre, mais il a priĂ© pour que tout se passe bien. Les sages-femmes sont passĂ©es le voir et il pleurait. Elles essayaient de le rassurer en lui disant que tout se passait trĂšs bien. Vers 6 heures du matin on lui dit de repasser dans la piĂšce derriĂšre la mienne et de prĂ©parer son appareil photo. Comme on le lui avait expliquĂ©, le cƓur de bĂ©bĂ© s’arrĂȘte quelques secondes. Le bruit de la ligne plate de l’électrocardiogramme indiquant que le cƓur s’est arrĂȘtĂ© de battre est un son qui reste ancrĂ© en lui encore aujourd’hui. Aussi courtes ces quelques secondes soient-elles, elles lui ont paru durer une Ă©ternitĂ©. Puis le bip » reprend et le petit cƓur se remet Ă  battre. MiniLeg0 est nĂ© La pĂ©diatre explique Ă  mon mari que la procĂ©dure veut que bĂ©bĂ© soit emmenĂ© au CHU, mais d’aprĂšs elle, il n’y resterait pas longtemps car elle le trouve en pleine forme. Notre fils est nĂ© 7 semaines en avance et pĂšse 2,2kg pour 46 cm. Pendant ce temps, on m’emmĂšne en salle de rĂ©veil. J’émerge vers 9h00 en entendant la voix de mon mari “Tout s’est bien passĂ©, tu vas bien et bĂ©bĂ© va bien. Regarde, il est lĂ  !”. J’ouvre les yeux avec difficultĂ© mais je ne vois que la couveuse. J’entends mon mari dire “Elle ne le voit pas”. Puis la couveuse se baisse et je vois une petite main qui se tend vers moi. Je rĂ©unis le peu de force que j’ai et je touche la petite main toute douce en disant “Oh mon bĂ©bĂ©â€. Je n’ai pas vu son visage, juste sa main, puis on l’emmĂšne Ă  nouveau pour qu’il soit transfĂ©rĂ© au CHU. Mon mari reste Ă  mes cĂŽtĂ©s et me tient l’autre main en me parlant doucement “Il est beau, il est en pleine forme”. Puis on lui dit qu’il faut partir car pour l’instant, je suis seule dans la salle de rĂ©veil mais d’autres patients arrivent. Il me dit au revoir et me lĂąche la main. J’ai touchĂ© la main de mon fils puis il est parti et celle de mon mari qui part Ă  son tour, j’ai l’impression que je suis en train de mourir et de les quitter. Je me rendors Ă  nouveau. En sortant de la salle de rĂ©veil, mon mari tombe sur le mĂ©decin qui nous a reçu et m’a accouchĂ© et elle lui dit “Monsieur, il Ă©tait grand temps que votre femme accouche”. Il comprend que quelque chose de grave vient d’ĂȘtre Ă©vitĂ© mais il n’en saura pas plus pour le moment. Il appelle tout le monde pour annoncer la naissance de notre fils. Les heures passant, il demande s’il peut m’appeler pour voir si je vais bien. Les sages-femmes m’amĂšnent un tĂ©lĂ©phone en salle de rĂ©veil et j’entends Ă  nouveau la voix de mon mari qui me dit qu’il a appelĂ© toute la famille. Je suis faible mais de l’entendre me fait du bien. Vers 12h00, je suis rĂ©veillĂ©e bien que vaseuse. On me dit que je vais ĂȘtre conduite en salle de soins. Mon mari m’y rejoint. J’ai mal Ă  la gorge Ă  cause de l’intubation et je suis encore bien fatiguĂ©e. Je suis perfusĂ©e de partout. Mon mari somnole sur un fauteuil Ă  cĂŽtĂ© de mon lit. Dans l’aprĂšs-midi, le gynĂ©co-obstĂ©tricien qui m’a suivi lors de ma grossesse passe dans ma chambre. Il nous dit que notre fils est au CHU mais qu’il est en pleine forme et qu’il devrait revenir trĂšs rapidement Ă  la maternitĂ©. Il sera en couveuse au service nĂ©onat car il n’a que 34 semaines d’amĂ©norrhĂ©es et que pour l’instant il a une sonde et des patchs. Il devra y rester jusqu’à la 36Ăšme semaine d’amĂ©norrhĂ©es, soit encore 2 semaines. Mais il respire dĂ©jĂ  trĂšs bien et va pouvoir s’alimenter normalement trĂšs vite. Puis son ton devient plus grave lorsqu’il commence Ă  parler de mon cas. Il nous explique alors que j’ai fait une stĂ©atose hĂ©patique aiguĂ« gravidique ou stĂ©atose hĂ©patique aiguĂ« de la grossesse. C’est une maladie trĂšs rare qui survient en fin de grossesse et qui est difficile Ă  diagnostiquer car les symptĂŽmes sont trompeurs. La stĂ©atose hĂ©patique aiguĂ« de la grossesse ou gravidique SHAG est un Ă©tat grave qui survient au cours du troisiĂšme trimestre de la grossesse. Il survient dans 1 grossesse sur 13 000. Bien que rare, la SHAG peut entraĂźner une insuffisance hĂ©patique et une encĂ©phalopathie confusion mentale et coma. Si le diagnostic est posĂ© Ă  des stades avancĂ©s de la maladie, le fƓtus et la mĂšre pourraient tous deux en mourir. Des Ă©tudes rĂ©centes ont dĂ©montrĂ© un taux de mortalitĂ© maternelle de 10 Ă  20 % en prĂ©sence de SHAG ce qui indique qu’une meilleure comprĂ©hension de la maladie est nĂ©cessaire afin de poser un diagnostic et d’amorcer un traitement prĂ©coces. Les symptĂŽmes de la SHAG incluent fatigue, nausĂ©es, vomissements et douleur abdominale. L’ictĂšre pigmentation jaune de la peau peut survenir Ă  mesure que la maladie progresse. Un accouchement prĂ©coce du bĂ©bĂ© peut souvent inverser les lĂ©sions au foie. En gros, mon foie a rĂ©agit comme si je faisais une hĂ©patite, j’avais la peau jaune, mes reins aussi en ont pris pour leur grade. La seule solution Ă©tait l’accouchement. Une fois bĂ©bĂ© sorti, la douleur avait disparu. Par contre, mes bilans sanguins montraient une faiblesse au niveau de mes reins et de mon foie qui exigeait que je reste en unitĂ© de soins. Encore une fois, le mĂ©decin nous a dit “Il Ă©tait grand temps que vous accouchiez”. Je suis fatiguĂ©e, encore sous le choc de la cĂ©sarienne, je ne percute pas encore la gravitĂ© de la situation. Mon mari reste avec moi jusqu’à 20h, puis il est obligĂ© de me quitter car il n’a pas le droit de dormir dans ma chambre tant que je ne suis pas au service maternitĂ©. Il a du mal Ă  partir et il me racontera plus tard qu’il a de nouveau pleurer sur la route de la maison. Je m’endors peu de temps aprĂšs qu’il ait fermĂ© la porte de ma chambre sous l’effet des mĂ©dicaments. Nous passons la premiĂšre nuit aprĂšs la naissance de notre fils seuls dans nos coins respectifs, bĂ©bĂ© au CHU, papa Ă  la maison, et maman en unitĂ© de soins. Et ce n’est que le dĂ©but de ce qui sera sans doute les deux plus longues semaines de nos vies
 Le lendemain Le lendemain matin de la naissance de notre fils, les aide-soignants s’occupent de moi. Ils changent mes perfs, me font ma toilette, regardent mon pansement. Ils essaient de me lever mais je n’y arrive pas, la douleur est encore trop prĂ©sente. On me fait des prises de sang, puis on m’emmĂšne faire une Ă©cho du foie. On ne me trouve rien d’étrange, mon foie a une taille normale. Mon mari me rejoint dans la matinĂ©e. Le mĂ©decin vient nous voir et nous explique que mon foie a rĂ©agit durant la grossesse mais qu’il a repris sa taille normale aprĂšs l’accouchement. Par contre, mes reins ont pris cher mon urine est trĂšs foncĂ©e car le foie n’a pas bien fonctionnĂ© les jours prĂ©cĂ©dents, ma peau et le fond de mes yeux sont jaunes, et mes bilans sanguins ne sont pas bons. D’aprĂšs elle, il faudra 1 mois avant que tout ne rentre dans l’ordre. Donc ils me gardent en unitĂ©s de soins jusqu’à ce que je rĂ©cupĂšre un peu, ils ne veulent pas prendre le risque de me transfĂ©rer Ă  la maternitĂ© et que je tombe dans le coma. Elle nous annonce ensuite que bĂ©bĂ© est revenu du CHU le matin-mĂȘme car il s’en sortait trĂšs bien. Il est au service nĂ©onat et mon mari va pouvoir aller le voir. Je suis heureuse qu’il soit de retour car il est en pleine forme et triste Ă  la fois car je ne pourrai pas le voir. En attendant, elle nous transmet une photo prise par le personnel du CHU. Puis son ton change, son visage a l’air triste et elle s’adresse Ă  moi “Je tenais Ă  vous prĂ©senter mes excuses. Quand votre mari a appelĂ© jeudi soir, je n’avais pas rĂ©ussi Ă  mesurer la gravitĂ© de la situation parce que c’est une maladie qui est difficile Ă  diagnostiquer. Je suis vraiment contente que votre mari ait autant insistĂ© sur le fait que vous n’alliez pas bien. Je ne veux mĂȘme pas penser Ă  ce qui aurait pu se passer si vous aviez attendu le lendemain comme je vous l’avais dit.” C’est Ă  ce moment-lĂ  que je percute enfin ce qui aurait pu se passer. Notre fils et moi avons failli mourir. Ce n’est pas arrivĂ© Ă  quelqu’un d’autre, ce n’est pas un film ou une sĂ©rie. Mon mari aurait pu rentrer seul Ă  la maison s’il n’avait pas insistĂ© pour que nous allions Ă  la maternitĂ©. Lorsque le mĂ©decin quitte la piĂšce, je suis envahie par l’émotion et je pleure de maniĂšre incontrĂŽlable. Mon mari me prend dans ses bras et me dit de pleurer tout ce que j’ai, que ça va me faire du bien. Je le sens triste lui aussi, mais il reste calme pour moi. Le tĂ©lĂ©phone sonne, mon mari peut descendre Ă  la nĂ©onat voir notre fils. Pendant son absence, le gynĂ©co-obstĂ©tricien qui me suivait pendant la grossesse passe et me dit qu’ils vont me faire passer des tests et me prendre rendez-vous avec des spĂ©cialistes pour mieux comprendre ce qu’il s’est passĂ©. D’aprĂšs lui, il y aurait de fortes chances pour que la mĂȘme chose se reproduise lors d’une seconde grossesse. On ne voulait qu’un enfant, la nature confirme notre choix. Puis l’anesthĂ©siste qui va me suivre durant tout mon sĂ©jour en unitĂ© de soins passe Ă  son tour et en remet une couche sur les tests, la gravitĂ© de la situation, etc
 Je comprends qu’on m’explique et j’apprĂ©cie la transparence, mais dans ma tĂȘte et dans mon cƓur, ça commence Ă  faire beaucoup
 Quelques minutes plus tard, mon mari revient de la nĂ©onat, le sourire jusqu’aux oreilles. Voir son fils a Ă©tĂ© sa bouffĂ©e d’oxygĂšne, il est pimpant. Il me dit qu’il y retournera plus tard avec un de mes t-shirts que les sages-femmes mettront dans la couveuse pour que bĂ©bĂ© ait mon odeur prĂȘt de lui. Et il me ramĂšne une vidĂ©o pour que je vois mon fils. En la visionnant, je m’effondre Ă  nouveau en larmes. Il a l’air si petit et fragile. Pourquoi je n’ai pas rĂ©ussi Ă  le protĂ©ger plus longtemps dans mon ventre ? Ma sƓur passe dans l’aprĂšs-midi pour nous offrir des petits pyjamas et un doudou. On discute un peu puis mon mari sort de la chambre. La porte reste ouverte et je l’entends poser une question Ă  quelqu’un pendant que je continue de discuter avec ma sƓur. Puis il entre Ă  nouveau dans la chambre et me dit “Il y a une surprise pour toi”
 Et lĂ  deux sages-femmes entre avec une petite couverture orange dans les bras et Ă  l’intĂ©rieur, mon bĂ©bĂ© ! Je ne sais pas comment dĂ©crire l’émotion que je ressens Ă  ce moment-lĂ . C’est comme un mĂ©lange de douleur, de joie, de culpabilitĂ© et d’amour tout en mĂȘme temps qui me sert la gorge et qui fait battre mon cƓur plus vite. Je tends les bras pour le prendre. A nouveau, les larmes me viennent. Je rencontre enfin mon fils pour la premiĂšre fois. Les sages-femmes prĂ©cisent qu’elles ne font jamais ce genre de choses avec un prĂ©ma mais qu’il est tellement en forme qu’elles lui ont exceptionnellement fait faire le voyage de la nĂ©onat Ă  l’unitĂ© de soins. Ma sƓur et mon mari prennent des photos puis restent auprĂšs de nous. Ça ne dure que quelques minutes, les sages-femmes le rĂ©cupĂšrent et me disent de me remettre vite pour pouvoir venir le voir. Je me sens regonflĂ©e Ă  bloc malgrĂ© la fatigue, je retrouve le sourire. Mon mari est heureux de me voir comme ça. Son dĂ©part est d’autant plus difficile le soir, il insiste pour rester avec moi mais les aides-soignants refusent. Il part Ă  contrecoeur mais en y repensant, c’était pour le mieux, car je ne le sais pas encore, mais je m’apprĂȘte Ă  vivre une nuit trĂšs difficile et des soins de plus en plus douloureux
 Le sĂ©jour en unitĂ© de soins Je vais passer 5 jours en unitĂ© de soins. Pas de repas avant le 4Ăšme jour et des perfs toujours plus douloureuses. Parfois, les tuyaux se bloquent et le liquide ne passe plus. Dans ce cas les aides-soignants injectent je-ne-sais-quoi dans les tuyaux pour faire repartir le flux et ça crĂ©e une douleur extrĂȘme dans les veines. J’en ai hurlĂ© une nuit et je redoutais toujours le changement de poche qui entraĂźnait souvent des blocages des tuyaux. Je suis gonflĂ©e comme une baudruche et les aides-soignants galĂšrent Ă  me faire mes prises de sang quotidiennes. Jusqu’au jour oĂč il devient impossible de me piquer au creux des bras. C’est donc l’anesthĂ©siste qui prend la suite. Elle me pique sur le cĂŽtĂ© du poignet et rien ne sort. Dernier recours, elle va passer par la veine Ă  l’intĂ©rieur du poignet en-dessous de la paume de la main. La douleur est insoutenable dĂšs que l’aiguille pĂ©nĂštre, et comme elle ne trouve pas de sang, elle bouge l’aiguille jusqu’à ce que le sang coule enfin. Je me souviens m’ĂȘtre contorsionnĂ©e dans tout les sens dans mon lit en hurlant, pourtant je ne suis pas douillette. Au dĂ©but du sĂ©jour, impossible de me lever. Puis on m’aide Ă  m’asseoir sur le lit, Ă  me lever, Ă  m’asseoir Ă  nouveau sur un fauteuil roulant puis on me pousse jusqu’au lavabo. Au fil des jours, je fais les quelques pas qui me sĂ©parent du lavabo en marchant avec un aide-soignant Ă  cĂŽtĂ© de moi. Ma tĂȘte tourne, mes muscles me lĂąchent. Faire trois pas me fatigue plus que 5 heures de Body Attack et me donne la nausĂ©e. Ma cicatrice me fait un peu mal, je fais une allergie Ă  la colle du pansement qui me provoque une brĂ»lure entre le ventre et ma cuisse droite. La sonde urinaire me gĂȘne beaucoup, c’est parfois douloureux. On me pique le doigt plusieurs fois par jour pour vĂ©rifier ma glycĂ©mie et j’ai aussi des injections d’anti-coagulant qui brĂ»lent dans la cuisse. Psychologiquement, c’est trĂšs dur. Mon mari fait des allers et retours entre la maison et l’unitĂ© de soins, entre l’unitĂ© de soins et la nĂ©onat. MalgrĂ© la fatigue, il profite de notre fils, apprend Ă  le changer, lui donner le biberon, lui faire son bain. Il me raconte qu’il est en pleine forme et qu’il est le seul bĂ©bĂ© de la nĂ©onat donc on prend grand soin de lui. Et tout le monde l’aime bien, apparemment, il n’est pas difficile du tout. Moi je ne dors plus, je suis en souffrance tout les jours et je ne peux pas m’occuper de mon fils. MalgrĂ© la gentillesse des aides-soignants, les jours me semblent ĂȘtre des mois. Je n’attends qu’une chose, pouvoir rejoindre le service maternitĂ©, me rapprocher de mon bĂ©bĂ© et que mon mari puisse dormir dans la chambre avec moi. Tous les jours mes bilans sanguins reviennent, jamais assez bon pour que mon attente soit rĂ©compensĂ©e, et tout les jours, les mĂ©decins me disent de patienter car ce que j’ai eu est grave. Je n’en peux plus d’entendre que ce que j’ai eu est grave. Je pleure tout les jours et toutes les nuits, je fais des crises d’angoisse, j’ai souvent des pensĂ©es morbides. AprĂšs 5 jours d’attente, mes rĂ©sultats vont enfin vers le mieux. Les mĂ©decins m’autorisent Ă  rejoindre le service maternitĂ© mais me gardent Ă  l’Ɠil car il y a toujours un risque que je tombe dans le coma. Si jamais je ressens quoi que ce soit d’anormal, il ne faudra pas que j’attende pour appeler les sages-femmes. On m’enlĂšve toutes mes perfs, on m’enlĂšve la sonde urinaire et tout mes patchs. Deux sages-femmes viennent me chercher et me disent que je serai bien avec elles. Mon mari nous suit avec la valise contenant mes affaires et qu’il a ramenĂ© de la maison. Je suis aux anges, c’est enfin la libĂ©ration, j’ai l’impression que tout mes problĂšmes s’envolent
 Le sĂ©jour Ă  la maternitĂ© Un seul mot pour rĂ©sumer ce sĂ©jour de 9 jours contradiction. Tout n’a Ă©tĂ© que contradiction, dans le discours des mĂ©decins en passant par celui des sages-femmes, des pĂ©diatres et dans ma tĂȘte Ă©galement. D’abord les mĂ©decins. Pendant 9 jours tout ce que j’ai entendu c’est “Aujourd’hui ça va” et le lendemain “Ah non, ça ne va plus”. Les prises de sang ont continuĂ©, mais comme je n’étais plus perfusĂ©e, j’ai dĂ©gonflĂ© et on pouvait Ă  nouveau me piquer au creux des bras. Mes rĂ©sultats Ă©taient en dents de scies et les mĂ©decins ne s’entendaient pas. Le gynĂ©co-obstĂ©tricien me disait qu’il fallait attendre que ce soit nickel, l’anesthĂ©siste disait que de toute façon, il faudrait 1 mois avant que ça ne revienne Ă  la normal et que les rĂ©sultats en dents de scie ne voulait rien dire. Les sages-femmes, c’était la guerre entre celles qui me disaient qu’il fallait que je me tienne debout toute seule et que j’aille Ă  la nĂ©onat Ă  pieds et celles qui me disaient de me reposer parce que ce que j’avais eu c’était grave et qui me disait d’aller Ă  la nĂ©onat en fauteuil roulant avec mon mari. Conclusion, un jour, je suis allĂ©e Ă  la nĂ©onat seule Ă  pieds et ma cicatrice de cĂ©sarienne s’est mise Ă  saigner. Le lendemain, j’y vais en fauteuil avec mon mari, et Ă  la nĂ©onat on me sort “Faudrait commencer Ă  venir en marchant quand mĂȘme, faut s’entraĂźner pour quand vous serez chez vous”. J’ai attendu que tout le monde ait le dos tournĂ© et j’ai pleurĂ© en silence. J’avais l’impression qu’elle me prenait pour une feignasse et une mauvaise mĂšre parce que je ne faisais pas d’efforts. J’avais sĂ©chĂ© mes larmes avant qu’on m’amĂšne mon fils pour son biberon. Les pĂ©diatres n’arrivaient pas Ă  se mettre d’accord sur la date oĂč bĂ©bĂ© allait pouvoir sortir et s’il pourrait ou non passer une journĂ©e et une nuit complĂštes dans la chambre avec nous avant de partir. Un jour on nous disait “oui”, le lendemain, une autre personne nous disait “non”. Du coup, c’était le bordel dans ma tĂȘte. J’ai rencontrĂ© la psy du service 3 fois, 1 fois avec mon mari et 2 fois seule. Je culpabilisais de ne pas avoir gardĂ© mon bĂ©bĂ© dans mon ventre plus longtemps, j’avais l’impression d’avoir rĂątĂ© mon accouchement. Quand mon fils me regardait, j’avais l’impression de lire du ressentiment dans ses yeux, comme s’il me disait “Tu a failli me tuer maman”. Et les rĂ©flexions qu’on me sortaient parfois Ă  la nĂ©onat me faisaient douter de mes capacitĂ©s Ă  ĂȘtre une bonne mĂšre “Nous on rattrape vos couches alors faudrait les faire mieux que ça”, “Le biberon faut pas que ça dure 3 heures non plus”, “Si vous mettez trop longtemps Ă  lui changer sa couche il ne va pas apprĂ©cier”. La psy m’a dit qu’il fallait que je fasse le deuil de mon accouchement et que les rĂ©flexions de la nĂ©onat Ă©taient dĂ©biles elle en a d’ailleurs parlĂ© avec le service. Je culpabilisais aussi car je ne sentais pas de connexion avec mon fils. Je savais que c’était mon enfant et que je l’aimais mais je ne le ressentais pas. En mĂȘme temps, c’est difficile de crĂ©er une relation quand vous n’ĂȘtes jamais seule avec votre enfant et que vous ne l’avez pas vu pendant presque une semaine aprĂšs l’accouchement. La psy m’a dit que c’était normal car, malgrĂ© que ce soit mon fils, c’était aussi un inconnu et qu’il fallait qu’on fasse connaissance tout les deux. Elle m’a aussi dit de lui parler et de lui expliquer tout ça. Un jour oĂč je l’ai eu dans la chambre avec moi, je lui ai dit en pleurant que je l’aimais, que j’étais dĂ©solĂ©e que ça se soit passĂ© comme ça et que j’avais hĂąte qu’on rentre Ă  la maison pour faire connaissance. Je n’osais pas en parler Ă  mon mari car j’avais peur qu’il le prenne mal et quand je lui ai enfin dit, il a totalement compris et m’a rassurĂ© en me disant que c’était normal. Pendant que j’en passais pas toutes ces Ă©tapes, mon mari gĂ©rait notre fils, les papiers, la maison, mes humeurs, nos chats
 BĂ©bĂ© gĂ©rait aussi comme un chef. Il est passĂ© rapidement de la couveuse, au berceau chauffĂ©, au berceau normal. De 2,2kg et 46cm Ă  la naissance, il est passĂ© Ă  2,690kg et 48cm en deux semaines. Finalement, aprĂšs des symptĂŽmes atroces, un accouchement en urgence, un sĂ©jour en unitĂ© de soins et 9 jours en maternitĂ©, notre fils a eu ses 36 semaines d’amĂ©norrhĂ©es et on nous a autorisĂ© Ă  rentrer chez nous. CrĂ©dit photo Frimousse Photo Le retour Ă  la maison Mon mari est venu nous chercher en dĂ©but d’aprĂšs-midi le 18 avril, 2 semaines aprĂšs l’accouchement. BĂ©bĂ© ayant atteint ses 36 semaines d’amĂ©norrhĂ©es, il n’était plus considĂ©rĂ© comme prĂ©maturĂ©, nous pouvions donc rentrer chez nous. Les mĂ©decins sont passĂ©s dans ma chambre le matin pour me souhaiter un bon retour. Nous avons ensuite fait le tour des services pour dĂ©poser des bonbons afin de remercier le personnel d’avoir pris soin de nous durant ces 15 jours. Le plus dur a Ă©tĂ© de passer par l’unitĂ© de soins. Je ne savais pas comment on y allait car je ne me souvenais plus comment j’y Ă©tais arrivĂ©e. Les aides-soignants Ă©taient trĂšs touchĂ©s qu’on passe leur dire au revoir et qu’on leur prĂ©sente notre fils. En sortant du service, j’ai encore pleurĂ©, c’était comme revenir sur les lieux d’un accident. Puis nous sommes montĂ©s en voiture et nous avons pris la route du retour. Tout me semblait diffĂ©rent, comme si je me rĂ©veillais aprĂšs un mini-coma. Le soleil brillait, les arbres Ă©taient vert, mon cƓur Ă©tait de plus en plus lĂ©ger Ă  mesure qu’on se rapprochait de chez nous
 Et nous voilĂ  Ă  la maison ! Nous profitons enfin de notre chance et de notre bonheur d’ĂȘtre 3. Pour finir, je vous dirai ceci si vous ressentez ces symptĂŽmes, n’hĂ©sitez pas Ă  insister pour ĂȘtre vu par un mĂ©decin. Il en va peut-ĂȘtre de la vie de votre enfant et de la vĂŽtre. Lettre Ă  mon bĂ©bĂ© Nous avions choisi ton prĂ©nom en hommage Ă  un grand homme, sans savoir qu’il signifiait “fils du champion”. Je n’ai pas pu te garder dans mon ventre pendant 9 mois comme la plupart des mamans. La SHAG stĂ©atose hĂ©patique aiguĂ« gravidique nous a pris de court, et tu es arrivĂ© par surprise ce matin du CrĂ©dit photo Frimousse Photo Ton papa a Ă©tĂ© un champion en insistant vigoureusement auprĂšs des mĂ©decins de la maternitĂ© pour qu’ils s’occupent de moi. Il a Ă©tĂ© un champion en veillant sur nous aprĂšs ta naissance, moi en unitĂ© de soins, toi en nĂ©onat. Et il sera toujours un champion, car il continue de prendre grand soin de nous au quotidien. Tu as Ă©tĂ© un champion en rĂ©sistant Ă  la mĂ©chante SHAG qui rĂŽdait autour du ventre de maman. Tu as Ă©tĂ© un champion en revenant du CHU en seulement 24 heures. Tu as Ă©tĂ© un champion, car c’est le surnom que le personnel de la maison de la naissance t’avait donnĂ©, petit bĂ©bĂ© sage, mais tonique, qui buvait ses biberons jusqu’à la derniĂšre goutte et qui a surpris tout le monde par sa force et son Ă©nergie malgrĂ© ses 2,2 kg pour 46 cm, et surtout malgrĂ© ses 7 semaines d’avance sur la date prĂ©sumĂ©e de son arrivĂ©e. CrĂ©dit photo Frimousse Photo Je ne me sens pas championne de n’avoir pu te protĂ©ger plus longtemps. Je ne me sens pas championne de n’avoir pu te serrer dans mes bras le jour de ta naissance. Je ne me sens pas championne d’avoir passĂ© 5 jours en unitĂ© de soins loin de toi. MalgrĂ© ces “ratĂ©s”, je me sens victorieuse lorsque je regarde ces photos, je me sens victorieuse oui, car elles sont la preuve que, malgrĂ© les Ă©preuves, ce les jours qui ont suivi et les Ă©ventuels jours difficiles Ă  venir, toi, ton papa et moi, nous Ă©tions, nous sommes et nous resterons des champions. CrĂ©dit photo Frimousse Photo

Monmari ne comprend pas ma fatigue grossesse - Meilleures rĂ©ponses; Degout odeur grossesse - Guide ; DĂ©gout soudain de la déçu par son mari pendent ma grossesse. sarah - 9 dĂ©c. 2011 Ă  19:23 Dtepu - 9 dĂ©c. 2011 Ă  19:52. 4 rĂ©ponses. cannabis et grossesse. marina0906 - 18 janv. 2009 Ă  13:19 loubnaen86 - 17 janv. 2011 Ă  02:26. 24 rĂ©ponses. Faim mais impossible de manger Cet article est proposĂ© par une fidĂšle lectrice que je remercie chaleureusement pour ce partage. Vous aussi, n’hĂ©sitez pas Ă  m’envoyer vos articles ou vos idĂ©es d’articles ! Ça y est, vous avez fait votre test et le rĂ©sultat est tombĂ© vous ĂȘtes enceinte. Panique Ă  bord
 Quand on ne prend aucune contraception, il peut arriver qu’on se retrouve enceinte alors qu’on ne s’y attendait pas ou pas tout de suite, voire mĂȘme qu’on ne le souhaitait pas. Si, dans ces moments lĂ , un premier mouvement de dĂ©pit est quasi inĂ©vitable et bien comprĂ©hensible, cette nouvelle grossesse ne doit pas se transformer en obstacle insurmontable. Mieux il ne faut pas simplement s’y rĂ©signer mais l’accepter pleinement, pour son bien, celui de son enfant et de sa famille, et mĂȘme celui de la sociĂ©tĂ©. Voici, basĂ©es sur mon expĂ©rience personnelle, quelques clĂ©s pour vous permettre de ne pas vous laisser abattre, de dĂ©passer la difficultĂ© de cette situation et de vous Ă©panouir pleinement dans votre rĂŽle de femme et de mĂšre. 1- Quand tous nos repĂšres semblent vaciller, il reste le cap de la priĂšre. Prier le Dieu fort, “la Voie, la VĂ©ritĂ©, la Vie” ; prier la Vierge MĂšre. Rien n’est plus indispensable dans ces moments de dĂ©tresse. Rien n’est plus opportun. Rien n’est plus efficace. Dieu source de toute vie et sainte Providence connaĂźt votre situation de toute Ă©ternitĂ©, il l’a voulue, il vous donnera les lumiĂšres et les grĂąces nĂ©cessaires pour aller de l’avant. Rien de plus rĂ©confortant que de se jeter dans les bras affectueux de la “MĂšre aimable”. Parlez Ă  Dieu en toute confiance, comme une petite fille perdue qui appelle ses parents Ă  l’aide. Dans mon cas, j’avais pris l’habitude de parler Ă  Dieu dans le silence de la nuit, le soir dans mon lit, avec force larmes je l’admets ; mais c’est toujours l’esprit apaisĂ© que je m’endormais. Priez aussi pour votre enfant c’est le meilleur moyen de vous connecter Ă  votre bĂ©bĂ© dĂšs les premiers jours de grossesse et de vous Ă©lever bien au delĂ  de vos soucis. 2 – Ma seconde clĂ© prolonge la premiĂšre il s’agit de remercier Dieu. Ses desseins sont impĂ©nĂ©trables, et ses vues ne sont pas les nĂŽtres. Tout ce qu’il fait est bon du mal il tire un plus grand bien, de la douleur une paix ineffable. Ce nouveau fardeau est une grĂące, il faut s’en persuader ; une grĂące d’accomplissement naturel et surnaturel puisque vous voilĂ  Ă  nouveau mĂšre d’un corps et gardienne d’une Ăąme, au cƓur de la mission que Dieu vous a confiĂ©e en vous crĂ©ant femme. Deo gratias, et humilitĂ© devant le mystĂšre de la vie qui nous dĂ©passe. 3 – Il n’y a qu’au moment de l’épreuve que l’on se rend compte de la soliditĂ© ou non de nos convictions. C’est le moment ou jamais de vous replonger dans la lecture d’ouvrages traitant de la mission de la femme, de sa grandeur, de sa beautĂ©, de sa difficultĂ© aussi. Foncez dans la rubrique “Bibliographie” de Femme Ă  Part ; si vous n’avez pas le temps de lire des ouvrages entiers, le site regorge d’articles plus Ă©difiants les uns que les autres sur tous ces sujets. En ce qui me concerne, j’ai lu L’univers fascinant de la femme pendant ma derniĂšre grossesse qui n’était pas dĂ©sirĂ©e donc, cela m’a Ă©tĂ© d’un grand secours. Je vous conseille aussi l’excellent ouvrage du PĂšre Jean-Dominique Fabre D’Ève Ă  Marie la mĂšre chrĂ©tienne. 4 – Prenez le temps de penser Ă  JĂ©sus Christ et aux saints et de comparer votre situation. C’est ma quatriĂšme clĂ© prenez du recul, relativisez. Vous portez la vie, vous allez la donner la mĂšre des frĂšres MachabĂ©es, elle, a vu pĂ©rir ses sept enfants sous ses yeux ; la famille Soubirous vivait dans un cachot insalubre ; Sainte Clotilde a perdu plusieurs enfants dans des conditions trĂšs difficiles. Prenez volontairement des exemples violents, vous verrez qu’aprĂšs vous remercierez Dieu tout naturellement des grĂąces qu’il vous prodigue, en dĂ©pit des difficultĂ©s. 5 – MĂȘme si ces bonnes dispositions sont dĂ©jĂ  une immense source de paix et d’acceptation, il ne faudrait pas en arriver Ă  nier le problĂšme. C’est une fausse solution qui freinera nĂ©cessairement tout Ă©panouissement en fonctionnant sur le mode de la colĂšre rentrĂ©e. En tant que personne trĂšs rancuniĂšre, je peux vous assurer que la colĂšre rentrĂ©e empoisonne la vie en profondeur. En cinquiĂšme clĂ©, je vous propose donc de prendre le temps de cerner votre problĂšme, de bien voir quelles sont les raisons de votre dĂ©pit, de votre rĂ©volte est-ce physique problĂšmes de santĂ© liĂ©s ou non Ă  de prĂ©cĂ©dentes grossesses, fatigue accumulĂ©e etc. ? Psychologique peur de souffrir, mauvaise expĂ©rience lors de prĂ©cĂ©dentes grossesses ou accouchements, se sentir mal dans sa peau, avoir l’impression de perdre pied etc. ? MatĂ©riel difficultĂ©s d’argent, de logement etc. ? Dans mon cas, c’était un savant mĂ©lange
 Il est bon d’effectuer cette dĂ©marche avec son mari c’est Ă  travers les Ă©preuves qu’un couple se solidifie, comme l’or se purifie au contact de la flamme. Votre mari saura vous aider Ă  identifier le problĂšme, et vous pourrez lui faire part de votre inquiĂ©tude afin de recevoir sa tendresse et son soutien. Il faudra faire en sorte que vous retrouviez ensemble cette joie simple et lumineuse d’accueillir la vie et d’entrer ainsi dans les plans sublimes du CrĂ©ateur. 6 – La sixiĂšme clĂ© s’impose d’elle mĂȘme apprenez Ă  exprimer vos sentiments, et Ă  les exprimer extĂ©rieurement. Ici, chacune est diffĂ©rente. Pour certaines le simple fait de dire tout cela Ă  haute voix suffira. Pour d’autres, ce sera chanter une chanson par exemple, en inventant d’autres paroles. Pour ma part, Ă©tant une littĂ©raire, j’ai Ă©prouvĂ© le besoin d’écrire ce que je ressentais, sous forme de poĂšme. Vos verrez qu’une fois verbalisĂ©, chantĂ©, peint, Ă©crit, bref extĂ©riorisĂ©, votre ressentiment s’estompera et votre cƓur vous paraĂźtra bien plus lĂ©ger, comme dĂ©lestĂ© d’un lourd poids. Prenez le temps de le faire, mais n’attendez pas le huitiĂšme mois comme moi c’est une telle dĂ©livrance ! N’hĂ©sitez pas Ă  en parler avec une personne de confiance, ayant une expĂ©rience positive de la grossesse. 7- Souriez ! Adoptez la stratĂ©gie de la pensĂ©e positive et celle du sourire volontaire, et vous verrez comme il fera beau dans votre cƓur et dans votre maison ! Si jamais votre mari a Ă©galement du mal Ă  vivre cette nouvelle aventure ce n’était absolument pas le cas du mien qui Ă©tait ravi d’ĂȘtre Papa pour la troisiĂšme fois !, vous voir sourire peut lui ĂȘtre d’un grand secours. En tout cas, il ne vous en aimera que davantage ! 8 – Prenez le temps de vous connecter Ă  votre bĂ©bĂ© cette clĂ© est trĂšs prĂ©cieuse. Votre bĂ©bĂ© n’a jamais demandĂ© Ă  ĂȘtre conçu, mais il ne demande qu’à vivre. MĂȘme si elles ne sont pas obligatoires, passez les Ă©chographies pour moi, ç’a Ă©tĂ© un vrai moment de rĂ©conciliation. Soyez Ă  l’écoute des signaux que vous envoie votre bĂ©bĂ© je n’ai pas pu le faire car je n’en avais pas les moyens mais je vous conseille de faire quelques sĂ©ances d’haptonomie, une façon de communiquer avec son bĂ©bĂ© Ă  travers des sons et des contacts, et de crĂ©er des liens forts avec lui. Si possible, faites vous accompagner par votre mari s’il a du mal Ă  envisager l’arrivĂ©e d’un nouveau bĂ©bĂ©. Parlez Ă  votre bĂ©bĂ© mĂȘme si techniquement il ne vous comprend pas, c’est une bonne façon de rĂ©aliser que vous portez bel et bien un ĂȘtre humain, que vous en avez la charge certes mais qu’au fond vous le chĂ©rissez. Des phrases telles que “tu n’y es pour rien, sois le bienvenu”, “je t’aime quoiqu’il arrive, tu es un cadeau du Ciel” vous aideront beaucoup. Et vous verrez que, grĂące Ă  je ne sais quel mĂ©canisme, vous aurez vraiment la sensation que votre enfant vous Ă©coute et est en communion avec vous. 9- Ma neuviĂšme clĂ© peut sembler contredire la prĂ©cĂ©dente, mais nous nous plaçons dĂ©sormais dans l’idĂ©e de se projeter aprĂšs la grossesse si vous vous en sentez le courage, ne demandez pas Ă  savoir le sexe de votre enfant. Cela peut paraĂźtre idiot, mais personnellement cela m’a beaucoup aidĂ©e en effet, plus la date de la naissance approchera, plus vous vous sentirez excitĂ©e Ă  l’idĂ©e de savoir s’il s’agit d’un garçon ou d’une fille bon, dans mon cas mon intuition m’avait dĂ©jĂ  bien renseignĂ©e, mais quand mĂȘme. Cela donnera du suspense et vous confortera dans l’idĂ©e que vous vivez une aventure avec des imprĂ©vus, de mĂȘme que quand vous vous ĂȘtes mariĂ©e finalement 😉 10 – DixiĂšme clĂ© mĂȘme si vous n’ĂȘtes pas riches, achetez Ă  votre bĂ©bĂ© une chose bien Ă  lui pyjama, bonnet
 J’avais achetĂ© un petit doudou et j’avais dormi avec pendant plusieurs mois avant la naissance pour lui donner mon odeur et en faire LE doudou de mon enfant bon, on va pas se mentir, son doudou ce n’est pas du tout celui là
 🙈 Mais je ne pouvais pas deviner et en attendant ça m’a aidĂ©e. 11 – Prenez le temps de bien prĂ©parer votre accouchement, surtout si c’est cela qui vous fait peur. Que vous ayez choisi ou non la pĂ©ridurale, ou que vous soyez obligĂ©e de passer par une cĂ©sarienne, ne vous trouvez pas dĂ©munie au moment fatal mĂȘme si bien Ă©videmment la douleur sera au rendez-vous, prĂ©parez votre mental par des exercices de relaxation par exemple. PrĂ©parez surtout votre Ăąme Ă  ce grand moment, puisque la femme se sanctifie en Ă©tant mĂšre, comme dit Saint Paul rĂ©jouissez vous, car vos souffrances vous font mĂ©riter, naturellement et surnaturellement. Certaines femmes ne ressentent pas la douleur des contractions quelle chance pensez vous ! Pourtant beaucoup d’entre elles se sentent frustrĂ©es, comme si elles n’avaient pas “mĂ©ritĂ©â€ leur enfant, au sens naturel. Nous avons la chance de pouvoir nous associer Ă  la MĂšre des Douleurs en mettant au monde nos enfants, mĂ©ditez cela et je vous assure que votre accouchement sera serein au moins en esprit. 12 – Dernier conseil, derniĂšre clĂ© si vous le pouvez, allaitez votre enfant. Pas besoin de s’étendre sur le sujet, vous connaissez dĂ©jĂ  tous les bienfaits de l’allaitement j’en suis sĂ»re. Ça a Ă©tĂ© l’étape ultime dans l’acceptation totale de mon enfant et de ma nouvelle maternitĂ©. Plusieurs mois ont passĂ© depuis, je n’ai plus aucune culpabilitĂ© et j’ai mĂȘme l’impression d’avoir toujours dĂ©sirĂ© cet enfant que j’aime de tout mon ne dira jamais assez que le bonheur passe par l’oubli de soi et le dĂ©passement. Alors, essayez de suivre mes conseils cela ne rĂ©duira pas vos souffrances mais leur donnera une autre dimension et Ă  vous une grande paix intĂ©rieure. Belle grossesse et belle rencontre avec votre nouveau-nĂ© ! Et vous, avez-vous dĂ©jĂ  eu des difficultĂ©s Ă  accepter une grossesse “surprise” ? Quelles ont Ă©tĂ© vos rĂ©actions ? N’hĂ©sitez pas Ă  partager vos expĂ©riences en commentaire ! Ces articles peuvent Ă©galement vous intĂ©resser La maternitĂ© est l’Ɠuvre de Dieu dans la femme et Je rassure mon tout-petit et je l’aide Ă  grandir sereinement. CrĂ©dit photo Pexels. Dernierpoint tous les mĂ©decins vous diront que pendant et aprĂšs l'amour la maman Ă©prouve une sensation de bien ĂȘtre qui se rĂ©percute sur le bĂ©bĂ©. Maintenant qd on fait l'amour Ă  une femme enceinte on ne lui Ă©crase pas le ventre et on n'y va pas non plus comme un bourrin!! 0. PublicitĂ©, continuez en dessous. Getty Images/iStockphoto Comment j'ai dĂ» accepter ma grossesse gĂ©mellaire et prendre le temps de tisser un lien avec mes filles Getty Images/iStockphoto Je tiens Ă  prĂ©ciser tout de mĂȘme aux gens bien-pensants, ne pouvant s'empĂȘcher de juger leurs voisins sans oser regarder leurs propres vies pleines de failles et de dĂ©fauts que oui, oui en 2017 il est encore possible de tomber enceinte par accident! Cela peut ĂȘtre dĂ» Ă  un manque de discernement sur l'instant mais sachez aussi qu'aucune contraception n'est fiable Ă  100%. Lorsque j'ai dĂ©couvert ma grossesse, j'avais 24 ans, c'Ă©tait un aprĂšs-midi et il faisait beau. Je me souviens ĂȘtre allĂ©e Ă  la pharmacie Ă  cĂŽtĂ© de chez moi acheter un test. Je n'ai pas pu attendre, aussitĂŽt rentrĂ©e, aussitĂŽt fait. Le rĂ©sultat Ă©tait sans Ă©quivoque, nul besoin d'attendre le temps inscrit sur la notice. Pour vous recentrer les choses, Ă  cette Ă©poque, mon mari et moi n'habitions pas ensemble. Il travaillait Ă  une heure et demie de chez moi et nous ne nous voyions que le week-end et les vacances. Bien qu'Ă  l'Ă©poque nous Ă©tions ensemble depuis un peu plus de 8 ans, nous n'Ă©tions mĂȘme jamais partis en vacances seuls tous les deux. Bien qu'ayant tous les deux une situation stable financiĂšrement puisque chacun Ă©tait en CDI, nous n'avions pas pour projet d'avoir un enfant tout de suite. Je me trouvais trop jeune, ce n'Ă©tait pas dans l'ordre des choses! J'avais encore tant de choses Ă  faire avant de m'engager envers un petit ĂȘtre. Mon copain lui Ă©tait au travail et ne rentrait pas me voir avant une semaine. Je n'ai pas eu le courage ni d'attendre ni de lui dire de vive voix alors je lui ai envoyĂ© par MMS la photo du test en faisant de sorte de mettre en Ă©vidence le fameux "un bĂąton vous n'ĂȘtes pas enceinte, deux vous l'ĂȘtes" ou le contraire je ne sais plus... Bien entendu, il ne comprend pas et me parle d'un dĂ©tail sur le test qui n'a ab-so-lu-ment rien Ă  voir. Je m'Ă©nerve derriĂšre mon tĂ©lĂ©phone, il finit par comprendre et m'appelle. Lui est le plus heureux des hommes et ne comprend pas ma peur et ma tristesse. Ce que je ne vous ai pas dit, c'est qu'une semaine avant nous avions appris qu'il avait Ă©tĂ© reçu Ă  un concours et qu'il partait d'ici 15 jours pour 9 mois dans une Ă©cole Ă  700km de moi. J'allais donc passer ma grossesse entiĂšre seule. AprĂšs avoir rĂ©flĂ©chi toute la nuit, je profite d'aller dĂźner chez ma maman pour la mettre dans la confidence. Elle ne s'y attendait pas, comme moi d'ailleurs, mais Ă©tait tout de mĂȘme trĂšs heureuse. Elle qui a eu son premier enfant moi plutĂŽt tard Ă  36 ans me dit que d'avoir un enfant jeune est une bonne chose. Je profite de ses conseils mais lui fais aussi comprendre que je ne sais pas si je dĂ©sire ou non garder l'enfant. AprĂšs une semaine de rĂ©flexion et d'un peu de dĂ©tresse, aprĂšs avoir parlĂ© avec mon chĂ©ri qui lui me soutient Ă  fond quelle que soit ma dĂ©cision, aprĂšs avoir pesĂ© 1000 fois le pour et le contre, je me dĂ©cide de garder l'enfant et prend immĂ©diatement rendez-vous avec mon mĂ©decin pour qu'il me prescrive une prise de sang qui par la suite viendra confirmer le rĂ©sultat du test de grossesse. Pendant un mois, en attendant la premiĂšre Ă©chographie des huit semaines, je reste lĂ  Ă  savoir que je porte en moi la vie, qu'un petit ĂȘtre s'est nichĂ© dans mon ventre et que bientĂŽt je vais devenir maman. Petit Ă  petit, mon entourage proche mais vraiment trĂšs proche entre dans la confidence, tout le monde tombe des nues et moi j'essaye de faire bonne figure. Il faut dire que de mes amies, je suis la premiĂšre Ă  attendre un enfant. Puis arrive la premiĂšre Ă©chographie, ce jour qui restera Ă  jamais gravĂ© dans ma mĂ©moire. J'entre dans centre de radiographie ou l'on m'a demandĂ© de beaucoup boire avant le rendez-vous, j'attends je suis dans la salle entourĂ©e de toutes ces futures mamans enceintes et... heureuses. J'attends, les minutes sont longues et j'ai l'impression que ma vessie va littĂ©ralement Ă©clater. Puis vient mon tour, j'entre dans la piĂšce sombre, m'allonge dans le fauteuil et soulĂšve mon t-shirt. La personne m'applique le gel, il est froid, je sursaute. Le moniteur de retour ne fonctionne pas je ne vois rien. L'Ă©cho commence. Mon sang se glace, ne fait qu'un tour, mon pouls s'accĂ©lĂšre. La personne tourne l'Ă©cran vers moi et lĂ  je vois apparaĂźtre deux petits points, deux minuscules petits points. Pendant une fraction de seconde je me dis en rĂ©action au cri qu'elle a poussĂ© "il est arrivĂ© quelque chose au bĂ©bĂ©, il est mort, il s'est divisĂ© en deux!". Puis je comprends et arrive Ă  dire dans un souffle "il y en a deux, c'est ça?" Oui, il y en avait deux. J'attendais des jumeaux. Je n'ai rĂ©ussi Ă  dire qu'une seule chose J'ai laissĂ© perler quelques larmes sur mon visage, essayant de faire bonne figure. Ce n'est qu'une fois dans la voiture aprĂšs avoir essayĂ© de joindre plusieurs fois sans rĂ©sultat le futur papa que je m'Ă©croule, submergĂ©e par l'Ă©motion, ma maman Ă  l'autre bout du tĂ©lĂ©phone. Je pleure toutes les larmes de mon corps. Je m'Ă©tais Ă  peine fait Ă  l'idĂ©e que j'aillais devenir maman d'un enfant unique et voilĂ  qu'on m'annonçait qu'il n'y en avait non plus un mais deux. Le coup de massue. Quant au papa, une fois au tĂ©lĂ©phone il Ă©tait Ă  nouveau le plus heureux des hommes Il ne manquait plus que ça Ă  ma dĂ©tresse, des jumeaux! J'attendais des jumeaux! Les jours passent, mon ventre s'arrondit. Je vis toujours aves cette sensation que deux enfants grandissaient en moi, que c'Ă©tait moi qui les avais faits mais qu'en parallĂšle ces enfants Ă©taient lĂ  malgrĂ© moi, qu'ils se servaient de moi pour se construire et grandir sans que je ne puisse rien y faire. Comme une grossesse gĂ©mellaire est une grossesse ultra mĂ©dicalisĂ©e, je me retrouve alors avec des Ă©chographies tous les 15 jours au CHU. J'ai alors pu suivre pas Ă  pas l'Ă©volution des petits ĂȘtres qui grandissent en moi. Je me nourrissais de ces petits bonheurs de les voir rĂ©guliĂšrement et d'entendre leurs petits cƓurs battre pour me convaincre que j'Ă©tais heureuse. Au fil du temps, mon ventre devient plus rond, et je poste ma premiĂšre photo sur Instagram en octobre, je dĂ©cide de crĂ©er un compte dĂ©diĂ© Ă  ma grossesse. Je dĂ©couvre le merveilleux monde des mamans et futures maman IG. Lire ces femmes et poster des photos contribue Ă  l'acceptation de ma grossesse. Vous voir si heureuses et Ă©panouies me fait me sentir mieux. MĂȘme si, je ne vais pas vous mentir, jamais du dĂ©but Ă  la fin de ma grossesse je ne me suis sentie ni Ă©panouie ni heureuse. Pendant ce temps, Jason et moi prenons une grande dĂ©cision nous allons nous marier, et ce avant la naissance des filles. Car oui, nous apprenons le mĂȘme mois que j'attends deux petites guerriĂšres. Nous qui ne voulions que des filles plus tard nous Ă©tions donc ravis de cette nouvelle. Si l'on m'avait dit qu'il s'agissait de garçons je pense que ça aurait Ă©tĂ© la goutte d'eau... mais qu'aurais-je rĂ©ellement pu faire? Mais revenons-en au mariage. Le 24 octobre, je vais remplir les papiers Ă  la mairie, la date est fixĂ©e nous nous dirons "oui" Ă  la mairie le 3 janvier 2015. Faute de moyens, nous n'Ă©tions que 9 Ă  la cĂ©rĂ©monie. Nos parents, nos frĂšres et sƓurs et leur conjoint seulement. C'Ă©tait vraiment un jour inoubliable. Je ne regrette pour rien au monde notre dĂ©cision de le faire en petit comitĂ©. C'Ă©tait tout de suite plus familial et donc moins formel. Dans mon ventre les filles bougent, elles aussi veulent participer Ă  la fĂȘte! Comme on dit, c'Ă©tait vraiment le plus beau jour de ma vie. MĂȘme si nous n'Ă©tions que 9, mĂȘme s'il manquait un bout de ceux que j'aime. Mais je vais trop vite, remontons un peu le temps, au moment de la pĂ©riode de noĂ«l. Je commence alors Ă  sentir mes filles bouger, et pour tout vous avouer je trouve cela formidable. Ces petits instants de bonheur sont comme des branches auxquelles je m'accroche. Il s'agit de moments uniques et magiques pour une maman. Ils sont privilĂ©giĂ©s et intimes, personne d'autre ne peut ressentir ces sensations. Quand j'y repense je suis nostalgique. Ces moments, je ne les ressentirai probablement plus jamais... Je n'arrive cependant pas Ă  m'imaginer ce que pourra ĂȘtre le futur Ă  quatre, je n'y arriverai jamais jusqu'Ă  mon accouchement. Je me sens en pleine forme. Les nausĂ©es et la fatigue du premier trimestre ont disparu. NĂ©anmoins, je suis arrĂȘtĂ©e de travail Ă  20 SA pour prĂ©venir tous risques d'accouchement prĂ©maturĂ©. Tout se passe trĂšs bien jusqu'Ă  32 SA. Je suis contente de ne plus travailler et mon moral remonte en flĂšche. Physiquement ça va mieux aussi. Les douleurs ligamentaires dues au travail en position debout ont disparu. Je pense au dĂ©mĂ©nagement Ă  la venue des filles et comment je vais dĂ©corer leur chambre. Je commence Ă  me projeter. Nous attendons de recevoir la prime de naissance en mars pour aller faire une journĂ©e shopping et acheter tout ce qu'il nous faut pour les bĂ©bĂ©s. Jusque-lĂ , nous n'avions rien acquis du tout. En fait, je retardais le moment des achats au maximum. Cela signifiait pour moi la concrĂ©tisation matĂ©rielle de ma grossesse et ça me faisait peur. Mon mari, lui, avait tellement hĂąte de pouvoir prĂ©parer la venue de ses petites princesses. Le pauvre il n'en pouvait plus d'attendre. Pour moi c'Ă©tait tout le contraire. Comment pouvait-on aimer quelqu'un qu'on ne connaissait pas? Moi-mĂȘme qui les portais, qui les sentais vivre en moi, je n'arrivais pas Ă  ressentir de l'amour pour elles. Je n'arrivais pas encore Ă  ressentir ce lien si particulier qui lie une mĂšre Ă  ses enfants. Comment quelqu'un Ă©tranger Ă  tout ça pouvait y arriver? Cela demeurait pour moi un vrai mystĂšre... Quelques jours de plus se sont Ă©coulĂ©s, nous sommes alors le 10 mars, j'ai rendez-vous comme tous les 15 jours avec mon gynĂ©cologue pour une Ă©cho de contrĂŽle. LĂ , tout va trĂšs vite. On me parle de col ouvert, de tĂȘte qui appuie, de retard de croissance et de manque de liquide amniotique. Je n'ai pas le temps de rĂ©aliser ce qu'il m'arrive que dĂ©jĂ  on m'emmĂšne aux urgences. S'en suit alors un monitoring, j'ai des contractions, je ne les sens pas mais elles sont bien prĂ©sentes. Je dois alors faire une batterie de tests, puis des injections pour faire maturer les poumons, s'en suivra bientĂŽt une perfusion de tractocile pour calmer les contractions. Je suis restĂ©e 1 semaine complĂšte Ă  l'hĂŽpital, seule, mon mari se trouvant Ă  plus de 700 km de moi. Tout m'est insupportable, je commence Ă  ressentir les contractions. Chacune est plus douloureuse que la prĂ©cĂ©dente, sentir mes filles bouger m'est devenu insupportable, j'ai l'impression que mon ventre va exploser Ă  chaque mouvement. La premiĂšre cure de 48h de tractocile s'achĂšve, on me pose Ă  nouveau un monitoring. Verdict les contractions sont revenues. On me donne alors des mĂ©dicaments en plus de spasfon et on me refait un monitoring quelques heures aprĂšs, toujours des contractions. La sentence tombe on me garde Ă  nouveau pour un minimum de 48h. Je n'en peux plus de la perfusion, elle me gĂȘne pour tout Ă©crire, me laver, dormir... MalgrĂ© les doses assez fortes, les contractions sont toujours lĂ , rĂ©guliĂšres. On ne peut toujours pas me laisser sortir, d'autant plus que mon col est toujours ouvert mais bonne nouvelle il n'a pas bougĂ© depuis la derniĂšre fois. Nous sommes vendredi. On me gardera encore pour le week-end. Le lundi suivant, je repasse un monitoring, une Ă©cho et un test vaginal. Tout est bon je peux enfin sortir. Je suis tellement contente. Ma sƓur vient me chercher pour m'emmener chez ma maman. J'y resterai jusqu'un mois aprĂšs la naissance de mes amoureuses. Une fois rentrĂ©e, c'est la fĂȘte dans mon ventre, je pense que les filles ressentent ma joie d'ĂȘtre enfin sortie. J'adore cette sensation de les sentir bouger comme pour me dire "Nous aussi on est contentes maman que tu ailles mieux". J'en suis alors Ă  33SA. On me demande de rester alitĂ©e et de me lever le moins possible. De toute façon je ne peux faire autrement, rien que le fait de me tenir assise plus d'une demie heure me provoque des douleurs affreuses dans le bas du ventre ainsi que des contractions. Debout, je n'en parle mĂȘme pas. Je suis incapable de faire plus de trois pas. Je me sens impuissante dans mon propre corps. Je perds le contrĂŽle de mes sensations, je dĂ©teste ça. Physiquement, mon corps est Ă  bout et mon ventre grossit de jour en jour Ă  vue d'Ɠil. Le soir, ma maman dĂ©cide de m'emmener aux urgences. Je suis de nouveau hospitalisĂ©e pendant 48h, on me remet Ă  nouveau de la tractocile sous perfusion. J'en suis alors Ă  35SA. La gynĂ©cologue du service dĂ©cide de me laisser partir, maintenant, si je dois accoucher, ils laisseront faire les choses. Il y a encore prĂ©maturitĂ© mais une toute petite qui ne reprĂ©sente pas grand danger pour mes pĂ©pettes. En parallĂšle, je suis si fatiguĂ©e et Ă  bout, je suis Ă  fleur de peau. Je ne supporte plus le moindre fait et geste de mon mari que je trouve Ă©goĂŻste. Lui n'a hĂąte que d'une chose voir ses filles. Peu importe si elles sont prĂ©maturĂ©es. "Maintenant c'est bien pris en charge" me dit-il. Il ne se rend pas compte de ce que ça reprĂ©sente. Il n'a pas l'air de saisir la souffrance de voir ses enfants sous couveuses reliĂ©es Ă  tout un tas de fils. Elles sont trĂšs bien dans mon ventre, elles doivent y rester au maximum. Je le vois arriver Ă  grands pas et ça me fait peur. Non, ce n'est pas la douleur qui m'effraye, encore moins la pĂ©ridurale ni l'hypothĂ©tique cĂ©sarienne... Ce qui me fait peur c'est le fait de devenir maman. Je ne veux pas avoir d'enfants, je ne veux plus, je veux faire machine arriĂšre mais je ne peux plus. Plus les jours passent, plus l'Ă©chĂ©ance se rapproche. En mĂȘme temps je n'en peux vraiment plus et je ferais tout pour "expulser les bĂ©bĂ©s" comme je le rĂ©pĂšte souvent. J'ai tellement peur de devenir mĂšre que jamais pendant ma grossesse je n'emploierai les mots "mettre au monde" mais toujours "expulser". Je suis vraiment dure envers ces bĂ©bĂ©s qui n'ont rien demandĂ© Ă  personne et qui ne sont lĂ  que de mon simple fait. Mi excitĂ©e mi apeurĂ©e, je rĂ©veille mon conjoint. "J'ai perdu les eaux!!!" "Enfin je crois". Non fonçons alors Ă  l'hĂŽpital en urgence, mais j'ai quand mĂȘme pris le temps de me laver plusieurs fois. Je vous passe les dĂ©tails des 12h de travail jusqu'Ă  la "dĂ©livrance". Ah! La dĂ©livrance... Physique ça c'est certain je me sens lĂ©gĂšre tout Ă  coup. Mais psychologique c'est vraiment autre chose. DĂ©jĂ  je sors traumatisĂ©e de mon accouchement. Non pas pour Sacha qui elle est sortie de façon traditionnelle mais pour Romane qu'on a dĂ» aller chercher. Comme pour chaque accouchement, la sage-femme me pose ma fille sur la poitrine. Je suis pĂ©trifiĂ©e et Ă©cƓurĂ©e. Je trouve ça immonde, le sang, le liquide... la sage-femme le voit bien, je grimace. Elle la prend pour la laver. La seule chose que je rĂ©ussis Ă  dire c'est "elle est tellement petite". Ça pour ĂȘtre petites... Les filles pesaient respectivement 2,260kg et 2,310kg Ă  la naissance pour 43 et 45 cm. Sur le moment, ce jour-lĂ  Ă©tait loin d'ĂȘtre le plus beau de ma vie. A ce stade je ne pouvais pas encore dire que j'aimais dĂ©jĂ  mes filles. Il me faudra encore plusieurs semaines pour ressentir ce sentiment d'amour infini que je peux ressentir pour elles aujourd'hui. Il me faudra apprendre Ă  les connaĂźtre et tisser des liens avec elles. Il nous aura fallu nous apprivoiser. À voir Ă©galement sur Le HuffPost
CetteĂ©mission portera sur les femmes enceintes qui ne veulent pas grossir. Si : - Vous ĂȘtes enceinte mais vous redoutez de prendre trop de poids. Vous envisagez mĂȘme de vous mettre au rĂ©gime. - Pour ne pas grossir pendant votre grossesse, vous vous imposez un rĂ©gime strict (sport, restrictions alimentaires). Vos proches ne vous
ll y a beaucoup d’élĂ©ments dans votre rĂ©cit. De nombreuses femmes connaissent une panne du dĂ©sir ou ont peur de faire l’amour durant la grossesse et dans les mois qui suivent. Rien de plus banal, donc. En revanche, qu’avoir un enfant bloque la situation pendant treize ans ne l’est plus du tout.
..Vous parlez aussi de dĂ©pression, un terme parfois utilisĂ© abusivement a-t-elle Ă©tĂ© confirmĂ©e par un mĂ©decin, vous a-t-il prescrit des antidĂ©presseurs ? Il est Ă©vident qu’une vraie dĂ©pression contribue aux troubles du dĂ©sir et qu’il importe de la soigner dit, vous semblez prisonniĂšre d’un cercle vicieux et paraissez ne plus savoir comment vous diriger. Vous expliquez que votre mari se dĂ©place et travaille beaucoup, de mĂȘme que vous ĂȘtes dĂ©bordĂ©e, or stress et fatigue contribuent fortement Ă  entretenir des difficultĂ©s de communication et de sexualitĂ© au sein des couples. Vous faites une thĂ©rapie pour vous dĂ©tendre », mais savez-vous vraiment ce qui vous tend ? Il me semble qu’une conjonction de circonstances et de petits Ă©vĂ©nements sont en train d’engluer votre vie et qu’il faut avant tout que vous vous preniez par la main tous les deux pour mener une Ă©valuation de votre couple. Il est nĂ©cessaire de faire le point sur les attentes de chacun et les possibilitĂ©s d’apporter Ă  l’autre ce dont il a besoin, en sachant qu’aucun conjoint ne peut vous combler intĂ©gralement. Cette remise Ă  plat de votre lien me semble des plus urgentes, plutĂŽt que de bricoler » sur la dĂ©prime, le stress, les enfants, repositionner votre couple, il faudrait aussi revenir Ă  la source qu’est-ce qui a occasionnĂ© cassure ? Une grossesse est en gĂ©nĂ©ral un Ă©vĂ©nement heureux lorsqu’il est souhaitĂ©, qui renforce le couple.
Ensuite, il faudra revoir ce qui marchait entre vous quand tout allait bien, et si vous pourriez trouver des compromis pour amĂ©liorer les choses et bĂątir un nouvel Ă©quilibre, compte tenu de la vie que vous menez Ă  l’heure actuelle. Le manque de dĂ©sir n’est que le tĂ©moin d’un Ă©quilibre rompu, il faut trouver les maillons pour retisser la trame de votre amour.
Ily a de fortes chances pour que vous n’ayez pas vu chez vos amies les difficultĂ©s que peuvent reprĂ©senter une grossesse parce que, comme la majoritĂ© des gens, quand on voit une femme enceinte, on ne voit que son ventre, on s’inquiĂšte de la santĂ© du bĂ©bĂ© mais beaucoup moins de la maman. il y a de forte chances que vous n’ayez pas vu les gros coup de pompe de
PubliĂ© le 23/11/2014 Ă  22h35 , mis Ă  jour le 03/10/2017 Ă  22h35 Validation mĂ©dicale 03 October 2017 Ne pas aimer l’état de grossesse, ça arrive. Comment un tel sentiment peut-il naĂźtre ? Quelles en sont les causes ? Comment mieux vivre sa grossesse ? Le point sur la grossesse mal vĂ©cue. Ces neuf mois sont souvent synonyme de bonheur et d’épanouissement. Un Ă©tat de bien-ĂȘtre qu’on ne cesse de nous vanter dans les magazines fĂ©minins et qui est ancrĂ© dans l’inconscient collectif. Mais ne pas aimer l’état de grossesse, ça arrive. Comment un tel sentiment peut-il naĂźtre ? Quelles en sont les causes ? Comment mieux vivre sa grossesse ? Lise Bartoli, psychologue clinicienne, spĂ©cialiste en pĂ©rinatalitĂ©, fait le point sur la grossesse mal vĂ©cue. Ne pas aimer la grossesse des causes physiques Pendant ces neuf mois de grossesse, le corps d’une femme passe par de nombreuses transformations et bouleversements physiques plus ou moins bien vĂ©cues par les concernĂ©es. La prise de poids est souvent difficile Ă  accepter pour une femme enceinte. Celles qui ont toujours idĂ©alisĂ© leur corps depuis qu’elles sont jeunes filles ne supporteront pas les kilos en trop. Ce changement brutal de morphologie peut crĂ©er une sensation de mal-ĂȘtre Ă  cause des complexes, et ce, jusqu’à la fin de la grossesse. Comme si la future maman devait faire le deuil de son apparence "avant grossesse". Les changements physiologiques peuvent Ă©galement faire naĂźtre chez la femme enceinte un sentiment de mal-ĂȘtre. Sur la premiĂšre marche du podium des accusĂ©s les nausĂ©es et vomissements. Elles surviennent gĂ©nĂ©ralement autour de la 6Ăšme semaine et cessent vers la 12Ăšme semaine. Plus ou moins intenses, elles peuvent ĂȘtre un vrai handicap si elles s’installent pendant toute la grossesse. Le dĂ©goĂ»t prend alors le dessus sur le bonheur d’ĂȘtre enceinte, allant mĂȘme jusqu’à dĂ©courager la maman de retenter l’expĂ©rience dans le futur. Suivez votre grossesse semaine aprĂšs semaine Ne pas aimer la grossesse des causes psychologiques "A partir du deuxiĂšme trimestre, la future maman s’ouvre aux informations inconscientes, explique la psychologue Lise Bartoli. Les blessures non rĂ©solues de sa petite enfance, voire celles de sa propre mĂšre, risquent d’émerger, perturbant son Ă©quilibre Ă©motionnel". Si la mĂšre, la sƓur ou mĂȘme la grand-mĂšre de la femme enceinte a eu une grossesse difficile, non dĂ©sirĂ©e, ou a fait une fausse couche ; ces mauvais souvenirs peuvent revenir comme un boomerang et ĂȘtre une source d’inquiĂ©tude. Plus difficiles Ă  identifier, les rapports houleux, les non-dits entre la mĂšre et la fille dans le passĂ© et qui ne sont toujours pas rĂ©solus, peuvent se rĂ©percuter sur la grossesse. Comprendre ce qui m’arrive Dans un premier temps, il est important d’identifier la cause du mal-ĂȘtre parmi celles citĂ©es prĂ©cĂ©demment ou d’autres encore, pour comprendre ce qu’il se passe. Si besoin est, faire une petite "enquĂȘte familiale", auprĂšs de ses proches pour trouver le traumatisme qui n’a pas encore cicatrisĂ© et le rĂ©gler, pour pouvoir enfin vivre sa grossesse sereinement. Your browser cannot play this video. Les conseils pratiques "Je conseille Ă  mes patientes qui vivent mal leur grossesse d’écrire tous les jours ce qu’elles ressentent sur un petit cahier pour Ă©vacuer les mauvaises pensĂ©es". Vous trouvez ce gros ventre disgracieux ? Sublimez-le avec des vĂȘtements qui Ă©pousent vos nouvelles courbes, testez le belly-painting, une variante du body-painting qui consiste Ă  peindre son ventre. Et si le futur papa vous accompagne pendant ces neufs mois et vous couvre de compliments et de petites attentions, ça aide pour se sentir mieux ! Il a aussi le droit de vivre cette grossesse et de partager vos Ă©motions, alors ne restez pas dans votre coin. Les complexes, le mal-ĂȘtre, les inquiĂ©tudes surviennent la plupart du temps chez les femmes primigestes premiĂšre grossesse. La peur de l’inconnu et surtout de ce qui les attend elles sont sollicitĂ©es de toute part ne leur permet pas de vivre pleinement cette expĂ©rience unique. Mais la psychologue Lise Bartoli insiste "Il faut vivre pleinement la grossesse et rechercher toutes les belles choses qu’il y a en nous, car le bĂ©bĂ© ressent aussi les Ă©motions de sa mĂšre. Parler Ă  l’enfant et lui dire ce qui ne va pas est important, dĂšs la grossesse vous construisez votre relation avec lui". À voir aussi Pour celles qui ont du mal avec les changements physiques et physiologiques, rassurez-vous, ils ne durent pas Ă©ternellement et pensez Ă  votre bĂ©bĂ© qui va arriver. La naissance fait en gĂ©nĂ©ral tout oublier.
Maisles autres femmes enceintes ne demandent pas Ă  leur conjoint d’arrĂȘter de boire l’apĂ©ro, de fumer ou de ne plus faire leur sport sous prĂ©texte qu’elles sont enceintes. Votre problĂšme semble ĂȘtre axĂ© sur l’apparence physique et la jalousie. Voir plus. 1 - J'aime.
Forum / BĂ©bĂ©s Bonjour a toutCe matin je pars ou travail hors de mes Ă©tats je suis nouvelle maman dune petit fille de preceque 3 mois un bĂ©bĂ© trĂšs deficile ou dĂ©but j'ai prĂ©vu un congĂ© sans solde vu que LĂ©a ne se calme que dans mes bras c'Ă©tait donc impossible de reprendre le boulot mais mon mari ma convaincu de le faire comme mĂȘme il a proposĂ© sa gĂ©nĂ©reuse aide et depuis une semaine j'ai repris au dĂ©but c'Ă©tait deficile car LĂ©a pleurait juste ou moment je la donne a son pĂšre et lui se montre trĂšs cĂąlin et fait de son mieux pour la calmer et me rassurer mais la des le matin LĂ©a pleure pondant que je me prĂ©pare a sortir et son pĂšre n'arrĂȘte pas de me perturber et culpabiliser indirectement en me faisant des remarque sur la maniĂšre dont je m'habille pourquoi je me maquille pourquoi je me brosse les cheveux et bla bla bla sachant que je fait tout a la va vite, une petite douche un coup de rouge a lĂšvre et je file, la je nr vais pas bien je veux pas que ça continue comme ça je ne fais rien dans le calmer tout le temps perturbĂ©e je passe la journĂ©e a courir et la nuit a veiller, pourquoi mon mari fait ça ou lieux d'ĂȘtre comprĂ©hensif Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidĂ©o. DĂ©jĂ  pourquoi ta fille pleurs ? Trouver la cause ça sera bien , ensuite ton mari et bien je ne sais pas ça ne viendrait pas Ă  l esprit de mon conjoint de me critiquer car je me maquille et m habille ... et si jamais il osait je lui rĂ©pondrais que c est pour ĂȘtre prĂ©sentable et que si ça lui pose un problĂšme il le garde pour lui ... Mais je comprend pas bien ton problĂšme en faite ... 1 - J'aime En rĂ©ponse Ă  chagrin2018 Bonjour a toutCe matin je pars ou travail hors de mes Ă©tats je suis nouvelle maman dune petit fille de preceque 3 mois un bĂ©bĂ© trĂšs deficile ou dĂ©but j'ai prĂ©vu un congĂ© sans solde vu que LĂ©a ne se calme que dans mes bras c'Ă©tait donc impossible de reprendre le boulot mais mon mari ma convaincu de le faire comme mĂȘme il a proposĂ© sa gĂ©nĂ©reuse aide et depuis une semaine j'ai repris au dĂ©but c'Ă©tait deficile car LĂ©a pleurait juste ou moment je la donne a son pĂšre et lui se montre trĂšs cĂąlin et fait de son mieux pour la calmer et me rassurer mais la des le matin LĂ©a pleure pondant que je me prĂ©pare a sortir et son pĂšre n'arrĂȘte pas de me perturber et culpabiliser indirectement en me faisant des remarque sur la maniĂšre dont je m'habille pourquoi je me maquille pourquoi je me brosse les cheveux et bla bla bla sachant que je fait tout a la va vite, une petite douche un coup de rouge a lĂšvre et je file, la je nr vais pas bien je veux pas que ça continue comme ça je ne fais rien dans le calmer tout le temps perturbĂ©e je passe la journĂ©e a courir et la nuit a veiller, pourquoi mon mari fait ça ou lieux d'ĂȘtre comprĂ©hensifJe pense qu'il faudrait dĂ©jĂ  trouver la raison des pleurs de ce bĂ©bĂ© et essayer de calmer tout ça a mon avis le reste ira tout de suite mieux. Parce qu'il faut bien l avouer entendre un bĂ©bĂ© pleurer c est agaçant et ça peut provoquer des disputes. J'aime En rĂ©ponse Ă  chagrin2018 Bonjour a toutCe matin je pars ou travail hors de mes Ă©tats je suis nouvelle maman dune petit fille de preceque 3 mois un bĂ©bĂ© trĂšs deficile ou dĂ©but j'ai prĂ©vu un congĂ© sans solde vu que LĂ©a ne se calme que dans mes bras c'Ă©tait donc impossible de reprendre le boulot mais mon mari ma convaincu de le faire comme mĂȘme il a proposĂ© sa gĂ©nĂ©reuse aide et depuis une semaine j'ai repris au dĂ©but c'Ă©tait deficile car LĂ©a pleurait juste ou moment je la donne a son pĂšre et lui se montre trĂšs cĂąlin et fait de son mieux pour la calmer et me rassurer mais la des le matin LĂ©a pleure pondant que je me prĂ©pare a sortir et son pĂšre n'arrĂȘte pas de me perturber et culpabiliser indirectement en me faisant des remarque sur la maniĂšre dont je m'habille pourquoi je me maquille pourquoi je me brosse les cheveux et bla bla bla sachant que je fait tout a la va vite, une petite douche un coup de rouge a lĂšvre et je file, la je nr vais pas bien je veux pas que ça continue comme ça je ne fais rien dans le calmer tout le temps perturbĂ©e je passe la journĂ©e a courir et la nuit a veiller, pourquoi mon mari fait ça ou lieux d'ĂȘtre comprĂ©hensifCa fait combien de temps que tu as repris le boulot?Tu as parlĂ© Ă  ton mari de ses remarques? Je commencerais par ça. Posez-vous au calme quand ta fille dort et demande lui pourquoi il a ce genre de remarques, s'il le pense vraiment, si c'est sous le coup de la fatigue, s'il est subitement devenu jaloux. Il a t'as dĂ©jĂ  fait ce genre de reflexions avant ou ça vient de commencer?Les pleurs de ta fille devrait se calmer quand ils se seront habituĂ©s tous les deux Ă  passer leur journĂ©e ensemble. Si c'est pas le cas, c'est qu'il y a un autre problĂšme. J'aime C'est bien Zelda, tu as trouvĂ© oĂč lancer une petite pique rĂ©flĂ©chis Ă  une rĂ©ponse constructive qui a pour but d'aider la posteuse et non pas de te faire te sentir mieux toi-mĂȘme en rabaissant les autres. 27 - J'aime Vous ne trouvez pas votre rĂ©ponse ? En rĂ©ponse Ă  chagrin2018 Bonjour a toutCe matin je pars ou travail hors de mes Ă©tats je suis nouvelle maman dune petit fille de preceque 3 mois un bĂ©bĂ© trĂšs deficile ou dĂ©but j'ai prĂ©vu un congĂ© sans solde vu que LĂ©a ne se calme que dans mes bras c'Ă©tait donc impossible de reprendre le boulot mais mon mari ma convaincu de le faire comme mĂȘme il a proposĂ© sa gĂ©nĂ©reuse aide et depuis une semaine j'ai repris au dĂ©but c'Ă©tait deficile car LĂ©a pleurait juste ou moment je la donne a son pĂšre et lui se montre trĂšs cĂąlin et fait de son mieux pour la calmer et me rassurer mais la des le matin LĂ©a pleure pondant que je me prĂ©pare a sortir et son pĂšre n'arrĂȘte pas de me perturber et culpabiliser indirectement en me faisant des remarque sur la maniĂšre dont je m'habille pourquoi je me maquille pourquoi je me brosse les cheveux et bla bla bla sachant que je fait tout a la va vite, une petite douche un coup de rouge a lĂšvre et je file, la je nr vais pas bien je veux pas que ça continue comme ça je ne fais rien dans le calmer tout le temps perturbĂ©e je passe la journĂ©e a courir et la nuit a veiller, pourquoi mon mari fait ça ou lieux d'ĂȘtre comprĂ©hensifEn te lisant ma premiĂšre rĂ©flexion est que je ne comprends pas bien le rapport entre un bĂ©bĂ© de 3 mois qui pleure et les remarques pourries de ton mari...Donc bon un bĂ©bĂ© qui pleure jusque-lĂ  rien d'anormal, ça passera. Ses remarques pourries perso il aur1it tente une fois, pas deux, mais tu le connais non, ce genre d'attitude ne doit pas dates d'hier donc si tu n'acceptes pas tu l'envoies promener et tu ajoutes une couche de mascara!Ah et son "aide prĂ©cieuse"...? Ton mari n'est pas le pĂšre du bĂ©bĂ©? Allez haut les coeurs! J'aime En rĂ©ponse Ă  effie_73214 Ca fait combien de temps que tu as repris le boulot?Tu as parlĂ© Ă  ton mari de ses remarques? Je commencerais par ça. Posez-vous au calme quand ta fille dort et demande lui pourquoi il a ce genre de remarques, s'il le pense vraiment, si c'est sous le coup de la fatigue, s'il est subitement devenu jaloux. Il a t'as dĂ©jĂ  fait ce genre de reflexions avant ou ça vient de commencer?Les pleurs de ta fille devrait se calmer quand ils se seront habituĂ©s tous les deux Ă  passer leur journĂ©e ensemble. Si c'est pas le cas, c'est qu'il y a un autre pour ta repense ça va mieux entre nous maintenant, c'est le bĂ©bĂ© qui pleure qui rĂ©clame ma prĂ©sence c'est ça qui nous a perturbĂ© tout les deux la on gĂšre la situation avec calme J'aime En rĂ©ponse Ă  nutellasoleil En te lisant ma premiĂšre rĂ©flexion est que je ne comprends pas bien le rapport entre un bĂ©bĂ© de 3 mois qui pleure et les remarques pourries de ton mari...Donc bon un bĂ©bĂ© qui pleure jusque-lĂ  rien d'anormal, ça passera. Ses remarques pourries perso il aur1it tente une fois, pas deux, mais tu le connais non, ce genre d'attitude ne doit pas dates d'hier donc si tu n'acceptes pas tu l'envoies promener et tu ajoutes une couche de mascara!Ah et son "aide prĂ©cieuse"...? Ton mari n'est pas le pĂšre du bĂ©bĂ©? Allez haut les coeurs!Tu as raison oui c'est lui le pĂšre de mon bĂ©bĂ© mais il eprouve a Ă©norme plaisir a tout jeter sur moi quand rien ne va pour lui le bĂ©bĂ© qui pleurait ça la agacĂ© et moi qui me fait belle aussi ça la rendu jaloux J'aime Discussions du mĂȘme auteur

bonsoirà tous je me suis inscrite sur ce forum car j'ai besoin d'aide ,je ne sais pas par ou commencer .. ma fille a aujourd'hui 27 mois et elle est née avec un prob au coeur, je m'en suis tout le temps occupée et j'ai mis ma vie proffessionnelle de coté, et dans la foulée j'ai eu son petit frere qui a 1 an depuis peu,j'aime mes enfants et mon mari mais je ne sais plus ce qui

“J'attends un enfant d'un homme mariĂ©.” Notre histoire ne ressemble pas aux autres
 Je suis la maĂźtresse d’un homme mariĂ©, la femme de l’ombre, et pourtant, je suis enceinte de lui. J’en suis Ă  mon quatriĂšme mois et j’en suis trĂšs heureuse, mĂȘme si je sais que je devrai Ă©lever toute seule mon enfant. Je n’ai pas fait un bĂ©bĂ© dans le dos, comme on dit familiĂšrement. C’est un accident, d’autres diraient un acte manquĂ© ! Un jour, j’ai oubliĂ© ma pilule et ça a suffi pour que je sois enceinte
 Quand je l’ai appris, je l’ai d’abord vĂ©cu comme une catastrophe et je me suis dit que je ne pouvais pas garder ce bĂ©bĂ©. Nicolas Ă©tait dĂ©jĂ  le pĂšre de deux enfants et j’apprĂ©hendais sa rĂ©action. Quand je lui ai annoncĂ©, il est devenu trĂšs pĂąle et est restĂ© silencieux pendant quelques instants. Puis il m’a demandĂ© trĂšs doucement ce que je comptais faire. Je lui ai renvoyĂ© la question en lui demandant ce que lui en pensait. Il m’a dit que c’était Ă  moi de choisir. Il a Ă©tĂ© aussi trĂšs clair. Il n’allait pas quitter sa femme
 Si je dĂ©cidais de garder l’enfant, il s’engageait Ă  le reconnaĂźtre, mais il ne pouvait pas dire encore s’il s’occuperait un tant soit peu de lui. J’ai Ă©tĂ© choquĂ©e qu’il n’envisage pas un seul instant de bouleverser sa vie pour moi et notre futur bĂ©bĂ©. Inconsciemment, je pense que j’avais peut-ĂȘtre rĂȘvĂ© que mon Ă©tat allait tout changer. Dans un premier temps, j’ai trouvĂ© mon ami trĂšs Ă©goĂŻste, presque cynique. Il continuait Ă  me dire qu’il tenait Ă  moi, mais ne voulait surtout pas changer sa petite vie d’homme mariĂ©. Et puis, j’ai compris que je voulais cet enfant malgrĂ© toutes les difficultĂ©s qui m’attendaient. Peu importaient les relations que j’avais avec son pĂšre D’ailleurs, j’aimais toujours ce dernier plus que tout, mĂȘme s’il ne rĂ©agissait pas comme je l’aurais souhaitĂ©. Mais il ne m’avait pas prise en traĂźtre et je savais dĂšs le dĂ©part que ce n’était pas un homme libre. Et puis, progressivement, un drĂŽle de sentiment s’est immiscĂ© en Ă©tant trĂšs honnĂȘte avec moi-mĂȘme, je me suis finalement demandĂ© si je ne prĂ©fĂ©rais pas cette situation – j’aimais un homme passionnĂ©ment, mais je ne dĂ©sirais sans doute pas vivre le quotidien avec lui. J’ai toujours eu peur de la routine, de l’usure du temps qui guette beaucoup de couples. Et j’ai vu mes parents se dĂ©chirer pendant trente ans pour finir par divorcer. Cela ne m’a jamais donnĂ© envie d’une vie familiale “classique”. On peut dire que je suis servie ! J'assume entiĂšrement mon choix Je pense donc que ce n’est pas un hasard si je me suis attachĂ©e si fort Ă  quelqu’un d’indisponible. Ce qui ne veut pas dire que les choses sont simples ! Je suis assez ambivalente, surtout maintenant que j’attends un enfant. Ça me rend triste parfois que mon ami ne soit pas lĂ  pour suivre les Ă©tapes de ma grossesse, mĂȘme s’il me demande souvent comment je vais. C’est peut-ĂȘtre la moindre des choses bien sĂ»r, mais ça me touche beaucoup. Je veux rester optimiste et penser qu’il tient Ă  moi Ă  sa façon. Il aurait pu me laisser tomber aprĂšs avoir su que j’attendais un enfant de lui et il ne l’a pas fait. Il cloisonne sa vie encore plus qu’avant. Il ne peut pas ou ne veut pas choisir
 J’ai une bande d’amis trĂšs proches qui m’entourent et me soutiennent. Je ne reste pas comme PĂ©nĂ©lope Ă  l’attendre sans rien faire d’autre ! J’ai une vie trĂšs riche. MĂȘme si c’est difficile Ă  comprendre pour la plupart des gens, finalement, ça me convient de vivre des heures formidables avec mon amoureux et d’avoir en parallĂšle une vie trĂšs indĂ©pendante, mĂȘme maintenant que je suis enceinte. Naturellement, tout n’est pas rose tous les jours pour autant
 Quand je n’ai pas le moral pour une raison ou une autre, le boulot, la fatigue
 j’aimerais bien sĂ»r qu’il soit lĂ  pour me consoler et me prendre tendrement dans ses bras. Mais qui dit qu’il le ferait si nous vivions ensemble ? Tant de couples vivent sous le mĂȘme toit sans rien partager. Ma mĂšre, qui ne comprend vraiment pas comment je peux supporter de n’ĂȘtre que la deuxiĂšme femme comme elle le dit trĂšs Ă©lĂ©gamment !, m’avait poussĂ©e Ă  interrompre ma grossesse, ce qui m’avait fait beaucoup de mal. Comment peut-elle me juger, elle, dont le mari, par consĂ©quent mon pĂšre, ne s’est absolument jamais occupĂ© de ses enfants ! Je pense qu’en trois ans de relations avec Nicolas, j’ai accumulĂ© mille fois plus d’amour et de tendresse qu’elle en trente ans de vie commune avec mon pĂšre. Un vrai bĂ©bĂ© de l'amour ! MĂȘme si, parfois il m’arrive de penser que je suis irresponsable d’avoir cet enfant en sachant que je serai toute seule pour l’accueillir. Mais la seconde d’aprĂšs, je me dis que c’est vraiment un bĂ©bĂ© de l’amour, puisque j’aime infiniment son pĂšre et que finalement celui-ci m’aime Ă  sa maniĂšre
 Au fond de moi, je me dis qu’un jour mon ami finira par s’occuper de son enfant, mĂȘme par intermittence. Et s’il ne le fait pas, je crois que j’ai assez d’amour Ă  donner Ă  mon enfant pour qu’il grandisse sereinement. Quand je sens mon bĂ©bĂ© bouger dans mon ventre, je suis tellement Ă©mue, tellement heureuse que je sais avoir pris la bonne dĂ©cision, c’est-Ă -dire le garder
 Je ne sais pas comment Ă©voluera mon histoire d’amour avec Nicolas une fois que j’aurai accouché  Naturellement, personne aujourd’hui ne peut le dire. Mais pour l’instant, mon avenir, c’est ce petit bout’chou qui va atterrir dans ma vie dans quelques mois et ça, ça me remplit de bonheur
 AprĂšs, qui vivra, verra !
Jesais que certaines, voir mĂȘme plusieurs d'entre vous se trouvent dans une situation semblable Ă  la miennes et j'aurais besoin de vos avis, conseils et petits trucs. Voila, je suis enceinte de 32SA. Depuis le 2iem mois de ma grossesse, mon mari ne ressent plus l'envie de me faire l'amour. Avant ma grossesse pourtant, nous avions une belle
Alors lĂ , j’aborde LE sujet compliquĂ© de mon premier trimestre la toxoplasmose pendant ma grossesse. Dans un article rĂ©cent, je vous parlais de notre nouvelle vie Ă  3, et de la façon dont j’ai dĂ©couvert ma grossesse. Ce qu’il faut savoir c’est qu’en faisant ma prise de sang en aoĂ»t dernier, on m’a prĂ©levĂ© deux tubes, l’un pour dĂ©terminer une potentielle grossesse positive donc, et l’autre pour la sĂ©rologie de la toxoplasmose. Comme je vous l’expliquais prĂ©cĂ©demment, j’ai appris ma grossesse par tĂ©lĂ©phone, puisque mes rĂ©sultats sanguins n’arrivaient pas. C’est en fait les analyses de ma toxoplasmose qui prenaient un peu de temps
 L'Ă©chographie de datation avant l'angoisse Dans mon dernier article, je vous racontais ma premiĂšre Ă©chographie de grossesse l’échographie de lundi suivant, dĂ©but septembre, j’avais rendez-vous avec mon mĂ©decin gĂ©nĂ©raliste. Pas la peine, donc, de faire le dĂ©placement un autre jour pour aller au labo, Ă  deux pas. J’avais dĂ©jĂ  attendu plus d’une semaine, je n’étais plus Ă  quelques jours prĂšs
 AprĂšs tout, je savais que j’étais enceinte, et de combien de temps. Je savais aussi que tout allait bien avec mon mini haricot on parle alors d’1,43cm de bonheur
le chemin est encore long, lol, grĂące Ă  l’échographie de parents Ă©tant en vacances en Corse, je suis venue passer quelques jours chez eux, sans Mister G. qui travaillait, pour veiller sur mon chat d’amour, et qui n’a pas l’habitude de se retrouver seul je l’appelle la Duchesse de Cambridge.Je ne m’étais pas doutĂ©e une seule seconde de la possible ampleur que les Ă©vĂ©nements pouvaient prendre Ă  ce moment-là
 La toxoplasmose pendant la grossesse QuĂ©saco la toxo ? Je ne suis absolument pas mĂ©decin, et pour des informations plus complĂštes et plus prĂ©cises, j’invite les plus curieuses Ă  se rapprocher de leur mĂ©decin, gynĂ©cologue ou sage-femme. La toxoplasmose c’est une infection due Ă  un parasite prĂ©sent dans la viande. Être vĂ©gĂ©tarienne ne suffit pas Ă  ne pas l’attraper, puisque le parasite se balade et se transmet Ă  travers les animaux friands de viande crue. Comme les chats par exemple. 80% de ces derniers sont porteurs de la toxoplasmose et le parasite est prĂ©sent dans leurs excrĂ©ments. Et avec lesquels eh si, nous sommes en contact. Comment attrape-t-on la toxoplasmose ? VoilĂ  pour la partie rĂ©jouissante. On attrape donc ce parasite en nettoyant la litiĂšre du chat, en ne lavant pas ses fruits et lĂ©gumes ayant Ă©tĂ© en contact avec la terre sur lesquels les animaux font leurs besoins, en mangeant la viande crue ou saignante ou encore, en jardinant. Pour se protĂ©ger de ce parasite, il faut Ă©galement se laver les mains avant et aprĂšs avoir Ă©tĂ© contact avec ces aliments. Infection, symptĂŽmes, immunisation...comment ça marche ? Ce qu’il faut aussi savoir, c’est qu’à l’époque de nos parents, presque toutes les femmes avaient attrapĂ© la toxoplasmose dans leur vie, avant de tomber enceinte. Aujourd’hui, environ 60% des femmes en Ăąge de procrĂ©er ne sont pas immunisĂ©es !S’il existe un vaccin contre la rubĂ©ole, il n’en existe pas pour la toxoplasmose. VoilĂ  pourquoi on prescrit une prise de sang en dĂ©but de grossesse. Et a priori, en dehors de la grossesse, attraper la toxo est tout Ă  fait bĂ©nin, sans danger. Parfois, on ne sent mĂȘme pas les effets de l’infection sur nous ! Elle peut s’apparenter Ă  une petite grippe ganglions, crampes musculaires, fatigue
 Une fois attrapĂ©e, nous voilĂ  immunisĂ©e ! Toxo positive ou nĂ©gative Seule une prise de sang peut vous Ă©clairer sur votre Ă©tat concernant la toxoplasmose. Vous avez pu attraper le parasite il y a 20 ans, ou il y a 3 mois. Si vous avez dĂ©jĂ  attrapĂ© cette infection dans votre vie, avant votre grossesse, tout va bien ! Vous ĂȘtes Ă  prĂ©sent “immunisĂ©e”, et ĂȘtes un peu plus souple dans votre rĂ©gime alimentaire pendant la grossesse. Si vos rĂ©sultats sont nĂ©gatifs, pas de soucis Ă  vous faire non plus. Vous n’avez jamais contractĂ© l’infection, et on va chercher Ă  ce que ce ne soit pas le cas pendant vos 9 mois de grossesse. Si la toxo n’est pas grave pour vous, elle est dangereuse pour votre bĂ©bĂ©, et ce quel que soit le stade de votre grossesse. Je ne rentrerai pas dans les dĂ©tails, pour ne pas affoler les futures mamans, pour rien !Vous allez donc faire un contrĂŽle chaque mois avec une nouvelle prise de sang, afin de vĂ©rifier que vous ne l’avez pas attrapĂ© au cours du mois. Vous aurez une attention toute particuliĂšre concernant votre alimentation, aux ustensiles de cuisine utilisĂ©s, et Ă  la litiĂšre de votre chat. Utilisez des gants et lavez-vous bien les mains, ou encore mieux, 0% risque demandez Ă  Monsieur de s’en charger ! Ne mettez pas Ă  la rue Felix, ce n’est pas la peine ! Soyez simplement vigilantes
 Mes rĂ©sultats de la sĂ©rologie de la toxoplasmose Je passe en coup de vent au labo, rĂ©cupĂ©rer mon enveloppe, avant d’aller chez mon mĂ©decin. Je l’ouvre en mĂȘme temps que je retourne vers ma voiture, et que je rĂ©ponds Ă  Mademoiselle Lo., elle aussi enceinte d’une deuxiĂšme princesse. Je rĂ©alise la chance que j’ai d’ĂȘtre entourĂ©e de copines, enceintes ou rĂ©cemment devenues mamans. Ce sont vraiment les seules de qui j’accepte les conseils, je sens tellement de bienveillance, et pas du tout de “tu devrais vraiment faire ça
c’est mieux pour bĂ©bĂ©â€Šâ€œ. La fameuse phrase culpabilisante qui te fait un peu passer pour une future mĂšre dĂ©chiffre pĂ©niblement mes rĂ©sultats. Je comprends Ă  ce moment-lĂ  que le labo avait des moyens limitĂ©s pour Ă©tudier mon cas, puisque je vois “CF rĂ©sultats et conclusion ci-joint“. Les Ă©chantillons ont Ă©tĂ© envoyĂ©s au laboratoire de la PitiĂ©-SalpĂ©triĂšre ! SĂ©rologie toxoplasmose - chaque labo a sa propre Ă©chelle ne pas comparer avec vos rĂ©sultats Donc moi je vois ça, je vois que c’est positif, je me dis “cool, je suis immunisĂ©e!“. Et puis je me fais des films Ă  repenser Ă  mon enfance et Ă  me dire que finalement, ça paraĂźt logique. Que j’ai encore PLUS DE CHANCE, car je ne connais Ă  ce moment-lĂ  aucune copine maman qui est immunisĂ©e contre la toxo ! Je ne m’inquiĂšte mĂȘme pas de la phrase “une infection rĂ©cente ne peut ĂȘtre exclue“, en me disant qu’une formulation comme “une infection rĂ©cente est probable” aurait Ă©tĂ© plus pessimiste sur mon c’est gĂ©nial. J’arrive chez le mĂ©decin, et quand elle me voit, elle tire une de ces tronches
 Bon ok, alors ça doit pas ĂȘtre si gĂ©nial que ça. “Ayline, j’ai eu tes rĂ©sultats. Je ne t’ai pas appelĂ© car j’ai vu que tu avais pris RDV avec moi aujourd’hui. Viens, on va parler de tout ça“.C’est-Ă -dire docteur que moi j’avais prĂ©vu de vous parler de ma super Ă©chographie de datation si, l’échographiste a dit que tout allait bien !, et de mon choix de maternitĂ©, parce que j’hĂ©site encore, voyez ? Toxoplasmose positive, pas toujours ok Dans son cabinet elle m’explique que je suis immunisĂ©e, mais qu’on suspecte une contamination rĂ©cente. Et par rĂ©cente, elle entend pendant que j’étais enceinte. Mais vous ĂȘtes sĂ»re ? Elle m’explique que lorsqu’on est immunisĂ©e depuis longtemps, seul le taux IgG est positif, le taux IgM est alors nĂ©gatif. Pour faire simple, le taux IgM reprĂ©sente les anti-corps. Et c’est bien connu, lorsqu’on contracte une infection, le corps lutte, donc des anti-corps apparaissent. Si le taux est positif, a priori c’est que l’infection est mon IgG aussi est positif ? Oui, il est positif, c’est la prise de relai avec les anti-corps, l’infection s’est installĂ©e en gros. L’infection est rĂ©cente mais on ne sait pas depuis quand
Je ne comprends pas du tout ce qui m’arrive. Je lui dis que je suis persuadĂ©e de l’avoir depuis longtemps. Je n’ai jamais lavĂ© mes fruits et lĂ©gumes avant qu’on parle de pesticides depuis quelques annĂ©es. Je mange beaucoup moins de viande depuis qu’on parle de sur-consommation. Et surtout je n’ai pas changĂ© de litiĂšre de chat depuis au moins 3 ans merci papa pour cette charge ingrate. Alors que petite, je passais mon temps Ă  soigner les chats de rue malades en Turquie, avec mes cousines. Je revois encore ma grand-mĂšre nous crier aprĂšs, nous disant qu’ils Ă©taient sales, qu’on ne devait pas y toucher. Mais les petites filles, ça n’écoute pas toujours, surtout quand c’est pour prendre soin de chats laissĂ©s Ă  l’abandon
 ConsĂ©quences d'une toxoplasmose pĂ©ri-conceptionnelle Ou encore, une toxo chopĂ©e en cours de grossesse. Alors lĂ , attention, Ă  prendre avec des pincettes. Car si c’est bien ce qu’on m’a dit, ce n’est juste pas du tout ce qui m’est arrivĂ© ! On a voulu tellement me prĂ©venir des risques, qu’on m’a aussi persuadĂ© de malheurs avant mĂȘme d’ĂȘtre sĂ»r de mon cas. Sans attendre les rĂ©sultats dĂ©finitifs. Encore dĂ©solĂ©e pour le choc que ça peut provoquer chez certaines, mais lisez mon tĂ©moignage jusqu’au bout, vous verrez que la fin de l’histoire n’est pas trop mauvaise 🙂“Mais alors Docteur, ça implique quoi de l’attraper pendant la grossesse ? Si c’est bien ce qu’il s’est passĂ©â€œ. Elle me dit qu’elle n’aime pas rĂ©pondre Ă  cette question. En mĂȘme temps, elle paraĂźt tellement plus inquiĂšte que moi, ça me semble logique de le lui demander. “Dans le premier trimestre, c’est la fausse-couche assurĂ©e. Il y a moins de chance de transmission qu’en grossesse plus avancĂ©e, mais les dĂ©gĂąts sont considĂ©rables“. Ah d’accord. Mais moi je sens que ça ira, moi. Je le sais. Bibou il n’est pas lĂ  au hasard. Peut-ĂȘtre que pour la plupart des gens un embryon ça ne vaut rien Ă  cĂŽtĂ© d’un foetus, mais mon Bibou il veut vivre, et moi je l’aime dĂ©jĂ  mon haricot
 Je me sens seule, Mister G. est au travail. Ce n’était qu’un check-up post Ă©chographie de datation Ă  la base
 Elle enchaĂźne “si jamais tu ne fais pas de fausse-couche, ça conduit Ă  des lĂ©sions cĂ©rĂ©brales, cardiaques, ou des problĂšmes aux yeux. Parfois, tout ça n’est pas dĂ©tectable aux Ă©chographies. On s’en aperçoit qu’à la naissance. Vaut mieux penser Ă  l’avortement”.Mais
 Mais, ça ne se soigne pas ? Si on fait une prise de sang tous les mois aux femmes enceintes, c’est bien que c’est pris en charge, d’une certaine façon, pour nous protĂ©ger, sans penser tout de suite au pire. Alors oui, il y a des antibiotiques. Elle m’en a d’ailleurs prescrit, par prĂ©vention, jusqu’aux prochains rĂ©sultats de ma prochaine prise de sang. Des cachets de la taille d’un M&M’s Ă  prendre matin et soir.“Docteur, et si c’était une infection ancienne ? C’est possible non ? MĂȘme avec des IgM positifs, ça pourrait ĂȘtre ancien, non ?“. Alors dans des cas “trĂšs rares” elle insiste sur ces mots, on voit ce qu’on appelle des IgM rĂ©siduelles dans le sang, c’est-Ă -dire un taux stable d’anti-corps dans le sang, mĂȘme des mois voire des annĂ©es aprĂšs la contamination. Mais c’est tellement rare, que je ne veux pas qu’on y croit trop. VoilĂ  ce qu’elle me rĂ©pond
 Autant vous dire qu’elle n’était pas convaincue d’un happy-ending !Elle me prĂ©cise que bah
 “tu peux manger de la viande rouge maintenant, et t’occuper du chat de tes parents. Quoi qu’il arrive, tu es immunisĂ©e“. Retour seule Ă  la maison et le dĂ©sespoir Je regagne ma voiture, avec la nonchalance d’un zombie. Pas une larme ne coule, ni devant le mĂ©decin, ni sur le trajet du retour. Je me suis prise la plus grande claque de ma vie mais malgrĂ© tout, je veux garder le contrĂŽle. Bibou n’a rien demandĂ©, et on le menace dĂ©jĂ . Je ne suis donc mĂȘme pas capable de le protĂ©ger ? Je pense ne m’ĂȘtre jamais sentie aussi vide de toute ma vie. Le dĂ©sespoir est un sentiment qui prend forme rĂ©ellement Ă  cet instant. J’aurais pu faire plusieurs accidents en route, tant j’étais chamboulĂ©e. Et puis, j’arrive chez mes parents. Kissa, mon chat, toujours lĂ  pour accueillir quiconque l’aurait laissĂ© seule plus d’une heure, est aux abonnĂ©s absents. Comme si elle aussi avait compris ce qui m’arrivait. Peut-ĂȘtre mĂȘme que c’était par elle, que j’avais attrapĂ© la toxo. En dix ans passĂ©s avec elle, c’est la premiĂšre fois que je suis heureuse de ne pas la voir
Je m’installe sur le canapĂ©, dans un silence insupportable. Je m’effondre en criant une douleur que j’avais jamais ressentie dans ma vie, et que je ne souhaite Ă  personne. On m’a dit que j’allais perdre mon bĂ©bĂ©. Peu importe qu’il ait seulement 7 semaines. Je hurle, et peine Ă  me calmer pour appeler Mister lĂ , en quelques secondes, l’amour et le soutien d’un mari peuvent vous transformer. J’ai toujours Ă©tĂ© trĂšs proche de mes parents, et trĂšs indĂ©pendante par rapport Ă  la personne qui partage ma vie. J’aime mes moments de solitudes, j’aime passer du temps avec moi seule, me retrouver. Mais depuis cette minute-lĂ  au tĂ©lĂ©phone, mon mari m’est tout Ă  fait indispensable, comme jamais personne ne l’a Ă©tĂ© dans ma vie. Aujourd’hui, Ă  l’heure oĂč j’écris cet article, je suis Ă  Stockholm. Partie le rejoindre pendant son dĂ©placement professionnel, alors que nous partons en lune de miel dans 2 jours
Je l’entends vraiment concernĂ© au tĂ©lĂ©phone, profondĂ©ment triste. Mais il veut tenir le coup pour nous deux. Il comprend que j’ai tout encaissĂ© seule, alors il prend le relai comme il peut. Je craque de nouveau et raccroche pour ne pas qu’il entende l’ampleur de ma peine. Kissa s’approche enfin de moi, je la prends dans mes bras et me love Ă  son doux pelage. Comme si je lui disais que mĂȘme si c’était de sa faute, je ne lui en voulais pas. Puis, nous arrivons Ă  parler calmement avec Mister G. “Que veux-tu faire alors ? Si Bibou a quelque chose ?“. Je lui rĂ©ponds sĂšchement que Bibou ira trĂšs bien, qu’il nous entend et que je n’y pense pas une seconde, car il faut qu’on lui fasse confiance. Je lui dis aussi que je compte sur lui pour qu’il reste positif avec moi, qu’il n’y a rien d’autre Ă  faire, en attendant ma prochaine prise de sang. Le point de vue de Mister G. Ce qui m'a rassurĂ© dans tout ce chaos, c'est la confiance qu'avait Ayline sur le sujet. Elle ressentait que tout allait bien, elle Ă©tait certaine que l'infection Ă©tait ancienne. Alors, comme elle, j'y ai cru. C'Ă©tait vraiment rĂ©confortant pour moi, parce que je me posais beaucoup de questions sur le futur de mon bĂ©bĂ©. Comment allons-nous gĂ©rer la situation s'il y a un soucis ? Autour de nous, on entend toujours plein de choses nĂ©gatives... Se faire confiance, et prendre le relai quand l'autre va mal. C'est aussi ça l'aventure des futurs parents. Suite lundi, au prochain article
 Love,

Aujourdhui j'ai participé à la super rencontre chez Petityouoyou ! J'en avais parlé à mon mari il y a quelques jours

1 Salam Ă  toutes et Ă  tous, VoilĂ  tout est dans le titre, depuis que je suis enceinte, mon mari ne me calcule plus, au dĂ©but ca allait sachant qu'il m'avait souhaitĂ© a moi seule les fĂ©licitations comme si que je l'avait conçu seule ! ou alors parfois il me disait tu dois ĂȘtre contente bsahtek! j'Ă©tais blessĂ©. Ensuite on s'est disputĂ© une seule fois Ă  cause d'une chose vraiment futile rien a voir avec la grossesse et depuis ca fait 1 mois et demi qu'il a changĂ©, il dort seul, ne m'adresse pas un mot, rentre tard, mange rarement ce que je prĂ©pare, bref je suis malheureuse, je me sens seule, trĂšs seule, et vraiment ca me blesse Ă©normĂ©ment j'ai mĂȘme parfois regrettĂ© d'ĂȘtre tombĂ©e enceinte que dieu me pardonne. Qu'en pensez-vous les garçons? que feriez vous les filles? Merci Ă  vous. Salam ouahlykoum et que dieu nous bĂ©nisse, Amine. 2 salut peut ĂȘtre l as tu exclu involontairement de ta grossesse... il n'y a qu'une seule chose a faire communiquer... si vous l'avez desirez a 2 cet enfant il faut que vous viviez cette episode a 2 parle le lui demande lui ce qu'il pense de cette grossesse, ce qu'il aimerait avoir fille ou garcon et puis ne le laisse pas s'isoler.. pour qu'il agisse comme ça il doit y avoir une raison essaies de la trouver bonne chance 3 salut peut ĂȘtre l as tu exclu involontairement de ta grossesse... il n'y a qu'une seule chose a faire communiquer... si vous l'avez desirez a 2 cet enfant il faut que vous viviez cette episode a 2 parle le lui demande lui ce qu'il pense de cette grossesse, ce qu'il aimerait avoir fille ou garcon et puis ne le laisse pas s'isoler.. pour qu'il agisse comme ça il doit y avoir une raison essaies de la trouver bonne chance Je comprend qu'il travaille beaucoup mais quand mĂȘme! lors de notre dispute il m'a menacĂ© de me frapper je ne l'ai pas prĂ©cisĂ© du coup je n'ose plus vouloir "discuter". Aussi, il est toujours brutal en rentrant, il a toujours l'air trĂšs Ă©nervĂ©, sois avec ses ouvriers soit son associĂ©, bref il me donne pas envie de me rapprocher de lui En tout cas merci pour ta rĂ©ponse Drianke Ű§Ù„Ù„Ù‡Ù… Ű„ÙŰȘŰ­ Ù„Ù†Ű§ ŰŁŰšÙˆŰ§Űš Ű§Ù„ŰźÙŠŰ± ÙˆŰŁŰ±ŰČÙ‚Ù†Ű§ من Ű­ÙŠŰȘ Ù„Ű§ Ù†Ű­ŰȘ۳ۚ 4 Vous avez parlĂ© d'enfants avec ton mari avant de le concevoir? Il Ă©tait prĂȘt Ă  ce que tu tombes enceinte de suite? Ton comportement a changĂ© intimement avec lui? es tu malade souvent enfin tous les petits symptĂŽmes dĂ©sagrĂ©ables que peut connaitre une femme enceinte? AprĂšs une question de maturitĂ©, d'ĂȘtre prĂȘt moralement ou alors il voulait plutĂŽt profiter de sa femme sans avoir de gosses dans les pattes tout de suite comme celĂ  arrive chez les jeunes mariĂ©s... Communiquez c'est important...ne laissez pas pourrir une situation... 5 Salam Ă  toutes et Ă  tous, VoilĂ  tout est dans le titre, depuis que je suis enceinte, mon mari ne me calcule plus, au dĂ©but ca allait sachant qu'il m'avait souhaitĂ© a moi seule les fĂ©licitations comme si que je l'avait conçu seule ! ou alors parfois il me disait tu dois ĂȘtre contente bsahtek! j'Ă©tais blessĂ©. Ensuite on s'est disputĂ© une seule fois Ă  cause d'une chose vraiment futile rien a voir avec la grossesse et depuis ca fait 1 mois et demi qu'il a changĂ©, il dort seul, ne m'adresse pas un mot, rentre tard, mange rarement ce que je prĂ©pare, bref je suis malheureuse, je me sens seule, trĂšs seule, et vraiment ca me blesse Ă©normĂ©ment j'ai mĂȘme parfois regrettĂ© d'ĂȘtre tombĂ©e enceinte que dieu me pardonne. Qu'en pensez-vous les garçons? que feriez vous les filles? Merci Ă  vous. Salam ouahlykoum et que dieu nous bĂ©nisse, Amine. alors tout d'abord dĂ©dramatise tout, dis toi qu'avec ta grossesse tu grossis aussi les problĂšmes par une hypersensibilitĂ©. ensuite n'oublie pas que tu es une femme, ne cesse pas de l'ĂȘtre sous prĂ©texte que ton corps change. ne perds pas ton sex appeal car il est plus dans ta tĂȘte que dans ton corps et c'est l'arme ultime d'une femme si elle veut que son mari partage son lit. juste pour info les rapports sexuels durant la grossesse sont plus que conseillĂ©s pour qu'elle se passe bien et pas seulement parce que c'est le ciment du couple. Drianke Ű§Ù„Ù„Ù‡Ù… Ű„ÙŰȘŰ­ Ù„Ù†Ű§ ŰŁŰšÙˆŰ§Űš Ű§Ù„ŰźÙŠŰ± ÙˆŰŁŰ±ŰČÙ‚Ù†Ű§ من Ű­ÙŠŰȘ Ù„Ű§ Ù†Ű­ŰȘ۳ۚ 6 Ca par contre intolĂ©rable! faudra en parler avec ton waly qui a donnĂ© son accord pour ce mariage avec cet homme... Je comprend qu'il travaille beaucoup mais quand mĂȘme! lors de notre dispute il m'a menacĂ© de me frapper je ne l'ai pas prĂ©cisĂ© du coup je n'ose plus vouloir "discuter" En tout cas merci pour ta rĂ©ponse 7 Vous avez parlĂ© d'enfants avec ton mari avant de le concevoir? Il Ă©tait prĂȘt Ă  ce que tu tombes enceinte de suite? Ton comportement a changĂ© intimement avec lui? es tu malade souvent enfin tous les petits symptĂŽmes dĂ©sagrĂ©ables que peut connaitre une femme enceinte? AprĂšs une question de maturitĂ©, d'ĂȘtre prĂȘt moralement ou alors il voulait plutĂŽt profiter de sa femme sans avoir de gosses dans les pattes tout de suite comme celĂ  arrive chez les jeunes mariĂ©s... Communiquez c'est important...ne laissez pas pourrir une situation... Non tout se passait trĂšs bien, il le souhaitait toujours, parfois il me reprochait en rigolant bien sur d'avoir trop de bouf au lieu d'avoir un bĂ©bĂ©, et moi au contraire, depuis ma grossesse je l'aime encore plus et cherchais avant notre engeulade que ses bras ca me faisait un bien fou alors je ne comprend pas 8 Je comprend qu'il travaille beaucoup mais quand mĂȘme! lors de notre dispute il m'a menacĂ© de me frapper je ne l'ai pas prĂ©cisĂ© du coup je n'ose plus vouloir "discuter". Aussi, il est toujours brutal en rentrant, il a toujours l'air trĂšs Ă©nervĂ©, sois avec ses ouvriers soit son associĂ©, bref il me donne pas envie de me rapprocher de lui En tout cas merci pour ta rĂ©ponse Salam, Ça fait longtemps que vous ĂȘtes mariĂ© ? Vous aviez dĂ©jĂ  parler d'enfants ? Il Ă©tait voulu cet enfant ? De toute maniĂšre vous avez Ă©tĂ© deux pour le concevoir. EssayĂ© de savoir ce qui ne va pas. Pourquoi il rĂ©agit comme ça. Il ne va comme mĂȘme pas te taper. Il a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© violent ? 10 Ca par contre intolĂ©rable! faudra en parler avec ton waly qui a donnĂ© son accord pour ce mariage avec cet homme... son waly va avoir l'impression qu'elle est retombĂ©e en enfance "papa il m'a dit qu'il va me frapper !" elle doit plutĂŽt rĂ©pondre Ă  son mari "frappe moi et j'hĂ©siterai pas Ă  porter plainte, si t'es si fort attaque toi Ă  ceux qui peuvent te rendre les coups". 11 Arretez de parler comme si la venue au monde d'un enfant anĂ©antissait toute la vie de couple! c faux desolĂ©, hĂ©las les premiers mois sont difficiles, fin pour le premier, c normal c nouveau alors vous dĂ©couvrez de jours en jours des choses mais de lĂ  Ă  dire qu'on ne peut plus profiter de sa femme pcq il y a un gosse dans les pattes, jsuis pas d'accord desolĂ© on sait toujours le confier qlq heures afin de se retrouver, un bĂ©bĂ© sa dort beaaaaaucoupppp, alors on a Ă©galement beaaaaaaaucouuupp le temps de s'oqp l'un de l'autre Drianke Ű§Ù„Ù„Ù‡Ù… Ű„ÙŰȘŰ­ Ù„Ù†Ű§ ŰŁŰšÙˆŰ§Űš Ű§Ù„ŰźÙŠŰ± ÙˆŰŁŰ±ŰČÙ‚Ù†Ű§ من Ű­ÙŠŰȘ Ù„Ű§ Ù†Ű­ŰȘ۳ۚ 12 Va falloir s'assoir Ă  une table et discuter avec ton mari...si le dĂ©sir d'ĂȘtre parents Ă©tait des 2 cĂŽtĂ©s, que tu n'as pas changĂ© de comportement avec lui je ne vois pas trop ce qui se passe par contre ne laisse jamais ton mari te menacer de violences car c'est dĂ©jĂ  une violence psychologique avant d'ĂȘtre physique, faut en parler Ă  ton waly ton pĂšre en l'occurence...que quelqu'un soit au courant qu'il y a peut-ĂȘtre danger en la demeure... Bon courage Non tout se passait trĂšs bien, il le souhaitait toujours, parfois il me reprochait en rigolant bien sur d'avoir trop de bouf au lieu d'avoir un bĂ©bĂ©, et moi au contraire, depuis ma grossesse je l'aime encore plus et cherchais avant notre engeulade que ses bras ca me faisait un bien fou alors je ne comprend pas 13 Salam Ă  toutes et Ă  tous, VoilĂ  tout est dans le titre, depuis que je suis enceinte, mon mari ne me calcule plus, au dĂ©but ca allait sachant qu'il m'avait souhaitĂ© a moi seule les fĂ©licitations comme si que je l'avait conçu seule ! ou alors parfois il me disait tu dois ĂȘtre contente bsahtek! j'Ă©tais blessĂ©. Ensuite on s'est disputĂ© une seule fois Ă  cause d'une chose vraiment futile rien a voir avec la grossesse et depuis ca fait 1 mois et demi qu'il a changĂ©, il dort seul, ne m'adresse pas un mot, rentre tard, mange rarement ce que je prĂ©pare, bref je suis malheureuse, je me sens seule, trĂšs seule, et vraiment ca me blesse Ă©normĂ©ment j'ai mĂȘme parfois regrettĂ© d'ĂȘtre tombĂ©e enceinte que dieu me pardonne. Qu'en pensez-vous les garçons? que feriez vous les filles? Merci Ă  vous. Salam ouahlykoum et que dieu nous bĂ©nisse, Amine. il va vouloir prendre une deuxieme femme 14 alors tout d'abord dĂ©dramatise tout, dis toi qu'avec ta grossesse tu grossis aussi les problĂšmes par une hypersensibilitĂ©. ensuite n'oublie pas que tu es une femme, ne cesse pas de l'ĂȘtre sous prĂ©texte que ton corps change. ne perds pas ton sex appeal car il est plus dans ta tĂȘte que dans ton corps et c'est l'arme ultime d'une femme si elle veut que son mari partage son lit. juste pour info les rapports sexuels durant la grossesse sont plus que conseillĂ©s pour qu'elle se passe bien et pas seulement parce que c'est le ciment du couple. Merci beaucoup pour ta rĂ©ponse Drianke Ű§Ù„Ù„Ù‡Ù… Ű„ÙŰȘŰ­ Ù„Ù†Ű§ ŰŁŰšÙˆŰ§Űš Ű§Ù„ŰźÙŠŰ± ÙˆŰŁŰ±ŰČÙ‚Ù†Ű§ من Ű­ÙŠŰȘ Ù„Ű§ Ù†Ű­ŰȘ۳ۚ 15 Je m'excuse mais le waly est responsable d'elle, c'est lui qui a donnĂ© son accord...un pĂšre ne donne pas sa fille pour qu'elle soit maltraitĂ©e, il est responsable de cette union ...en France on fait une main courante quand menaces mais ce sont les lois françaises... son waly va avoir l'impression qu'elle est retombĂ©e en enfance "papa il m'a dit qu'il va me frapper !" elle doit plutĂŽt rĂ©pondre Ă  son mari "frappe moi et j'hĂ©siterai pas Ă  porter plainte, si t'es si fort attaque toi Ă  ceux qui peuvent te rendre les coups". 16 Va falloir s'assoir Ă  une table et discuter avec ton mari...si le dĂ©sir d'ĂȘtre parents Ă©tait des 2 cĂŽtĂ©s, que tu n'as pas changĂ© de comportement avec lui je ne vois pas trop ce qui se passe par contre ne laisse jamais ton mari te menacer de violences car c'est dĂ©jĂ  une violence psychologique avant d'ĂȘtre physique, faut en parler Ă  ton waly ton pĂšre en l'occurence...que quelqu'un soit au courant qu'il y a peut-ĂȘtre danger en la demeure... Bon courage oui malheureusement je suis seule aujourd'hui mes parents sont dĂ©cĂ©dĂ©s, je n'ai plus de waly Ă  part allah 17 Non tout se passait trĂšs bien, il le souhaitait toujours, parfois il me reprochait en rigolant bien sur d'avoir trop de bouf au lieu d'avoir un bĂ©bĂ©, et moi au contraire, depuis ma grossesse je l'aime encore plus et cherchais avant notre engeulade que ses bras ca me faisait un bien fou alors je ne comprend pas Ah oui, et j'ai pas pris le temps de te rĂ©pondre desolĂ©, dis toi que la grossesse peut ne pas ĂȘtre facile du tout moralement perso c ce que j'ai eu, point de vue symptomes etc j'ai RIEN eu hmdl c'etait nicquel juste mon petit bidou qui prenait de la place lol mais moralement, j'arretais pas de pleurer, mon mari j'avais l'impression qu'il m'abandonnais et ne m'aimait plus, tes hormones changent Ă©normĂ©ment ma belle c sa qui fait que tout te parait troublĂ©! rĂ©instaure le dialogue et surtout un conseil, ne fais pas la tristounette, sois forte et comme tu as toujours Ă©tĂ© d'habitude kheir inchaAllah Drianke Ű§Ù„Ù„Ù‡Ù… Ű„ÙŰȘŰ­ Ù„Ù†Ű§ ŰŁŰšÙˆŰ§Űš Ű§Ù„ŰźÙŠŰ± ÙˆŰŁŰ±ŰČÙ‚Ù†Ű§ من Ű­ÙŠŰȘ Ù„Ű§ Ù†Ű­ŰȘ۳ۚ 18 Un homme jeune et alerte refusant de partager la couche de sa femme a peut-ĂȘtre des problĂšmes de dysfonctionnements sexuels... Dieu Seul Sait! il va vouloir prendre une deuxieme femme 19 Je comprend qu'il travaille beaucoup mais quand mĂȘme! lors de notre dispute il m'a menacĂ© de me frapper je ne l'ai pas prĂ©cisĂ© du coup je n'ose plus vouloir "discuter". Aussi, il est toujours brutal en rentrant, il a toujours l'air trĂšs Ă©nervĂ©, sois avec ses ouvriers soit son associĂ©, bref il me donne pas envie de me rapprocher de lui En tout cas merci pour ta rĂ©ponse ah oui effectivement je comprend que tu n'ai plus envie de discuter mais tu n'as pas une idĂ©e du pourquoi de ce changement brutal peut ĂȘtre qu'il a des soucis avec sa boite et qu'il n'ose pas t'en parler tu ne peux pas essayer de voir avec un membre de sa famille?? 20 il va vouloir prendre une deuxieme femme mais qu'est ce tu racontes?? tu crois vraiment que la posteuse a besoin de ce genre de commentaires? mĂȘme si soidisant dit avec humour car je ne vois aucun emoticones, ni lol, ni mdr c pas le moment! 21 Merci beaucoup pour ta rĂ©ponse je t'en pries et bon courage pour la suite. Drianke Ű§Ù„Ù„Ù‡Ù… Ű„ÙŰȘŰ­ Ù„Ù†Ű§ ŰŁŰšÙˆŰ§Űš Ű§Ù„ŰźÙŠŰ± ÙˆŰŁŰ±ŰČÙ‚Ù†Ű§ من Ű­ÙŠŰȘ Ù„Ű§ Ù†Ű­ŰȘ۳ۚ 22 DĂ©solĂ©e... qu'Allah leur Ă©largisse leurs tombes.... Et bien il va falloir te protĂ©ger, tu dois bien avoir frĂšres, oncles, grands parents... Un homme ne menace pas de frapper sa femme et encore moins quand elle est enceinte, celĂ  peut-ĂȘtre un traumatisme...une femme enceinte est fragilisĂ©e dĂ©jĂ  pas la peine d'en rajouter... oui malheureusement je suis seule aujourd'hui mes parents sont dĂ©cĂ©dĂ©s, je n'ai plus de waly Ă  part allah 23 Non 2 ou 3 kg je reste coquette y a que mon ventre qui a pris de l'ampleur mais sinon ca va j'ai pas encore grossis 24 Je m'excuse mais le waly est responsable d'elle, c'est lui qui a donnĂ© son accord...un pĂšre ne donne pas sa fille pour qu'elle soit maltraitĂ©e, il est responsable de cette union ...en France on fait une main courante quand menaces mais ce sont les lois françaises... je comprends ta position Drianke seulement faire intervenir sa famille dans l&8217;immĂ©diat n'aurait qu'un effet boule de neige, je ne pense pas que cela soit le moment opportun. Sinon Ă  la pĂŽsteuse bah faut savoir que beaucoup d'hommes n'aime pas trop parler, ils peuvent le prendre comme une obligation de devoir se dĂ©fendre, se justifier. Dis lui que tu as juste besoin d'ĂȘtre Ă©couter, c'est le plus important. Pour le reste, certains hommes deviennent distant au moment d'une grossesse, d'autre l'inverse, c'est la vie pas de quoi en faire basculer celle de votre couple. 25 Je m'excuse mais le waly est responsable d'elle, c'est lui qui a donnĂ© son accord...un pĂšre ne donne pas sa fille pour qu'elle soit maltraitĂ©e, il est responsable de cette union ...en France on fait une main courante quand menaces mais ce sont les lois françaises... oui mais elle va pas le dĂ©ranger pour des mots, les hommes violents ne disent pas "je vais te frapper" ils frappent directement. et s'il la frappe lĂ  elle peut voir son waly en espĂ©rant qu'il ne lui sorte pas le verset qui autorise le mari Ă  frapper sa femme. marocN95 Associable - Bien mal acquis ne profite jamais 26 Salam, Je suis d'accord avec pogoss. ton hypersensibilitĂ© due Ă  un chagement hormonal important durant ta grossesse peut etre a l'origine de ce que tu ressens envers ton Ă©poux. Comme l'a bien rappeler pogosse, les relations sexuelles sont importantes pendant cette Ă©tape comme avant et comme aprĂšs une grossesse surtout pendant et aprĂšs. Essayez de recreer des moments d'intimitĂ© exemple un diner au chandelle oĂč le dessert se prendrai au lit ... Autre chose, oublie pas que ce n'est pas une situation pas facile pour lui un enfant ca change une vie Ă  tout jamais. Et l'apprĂ©hension peut etre trĂšs forte et se manifester violemment chez l'un ou l'autre. Parlez-en meme du fait qu'il t'ai menacĂ© de te frapper et, malgrĂ© la fatigue, oublie pas ta libido. Meme Ă  toi ca te fera du bien tu verras Bon courage et qu'Allah vous aide Ă  surmonter cette Ă©tape et vous permettent de bien vivre cette grossesse. Drianke Ű§Ù„Ù„Ù‡Ù… Ű„ÙŰȘŰ­ Ù„Ù†Ű§ ŰŁŰšÙˆŰ§Űš Ű§Ù„ŰźÙŠŰ± ÙˆŰŁŰ±ŰČÙ‚Ù†Ű§ من Ű­ÙŠŰȘ Ù„Ű§ Ù†Ű­ŰȘ۳ۚ 27 Vaut mieux prĂ©venir que guĂ©rir! combien de femmes sont maltraitĂ©es et continuent de l'ĂȘtre parce que justement elles se sont tues... J'ai trop vu de femmes battues peut-ĂȘtre....ça commence par une menace....puis le geste accompagne la parole....puis plus de paroles....que des gestes... je comprends ta position Drianke seulement faire intervenir sa famille dans l’immĂ©diat n'aurait qu'un effet boule de neige, je ne pense pas que cela soit le moment opportun. . 28 Non 2 ou 3 kg je reste coquette y a que mon ventre qui a pris de l'ampleur mais sinon ca va j'ai pas encore grossis si ton mari peut se connecter sur bladi, c'est surtout Ă  lui que j'ai envie de dire deux mots. 29 Vaut mieux prĂ©venir que guĂ©rir! combien de femmes sont maltraitĂ©es et continuent de l'ĂȘtre parce que justement elles se sont tues... J'ai trop vu de femmes battues peut-ĂȘtre....ça commence par une menace....puis le geste accompagne la parole....puis plus de paroles....que des gestes... elle ne doit pas se taire et surtout dire qu'elle n’hĂ©sitera pas Ă  porter plainte. 30 Salam Ă  toutes et Ă  tous, VoilĂ  tout est dans le titre, depuis que je suis enceinte, mon mari ne me calcule plus, au dĂ©but ca allait sachant qu'il m'avait souhaitĂ© a moi seule les fĂ©licitations comme si que je l'avait conçu seule ! ou alors parfois il me disait tu dois ĂȘtre contente bsahtek! j'Ă©tais blessĂ©. Ensuite on s'est disputĂ© une seule fois Ă  cause d'une chose vraiment futile rien a voir avec la grossesse et depuis ca fait 1 mois et demi qu'il a changĂ©, il dort seul, ne m'adresse pas un mot, rentre tard, mange rarement ce que je prĂ©pare, bref je suis malheureuse, je me sens seule, trĂšs seule, et vraiment ca me blesse Ă©normĂ©ment j'ai mĂȘme parfois regrettĂ© d'ĂȘtre tombĂ©e enceinte que dieu me pardonne. Qu'en pensez-vous les garçons? que feriez vous les filles? Merci Ă  vous. Salam ouahlykoum et que dieu nous bĂ©nisse, Amine. Salam "Tu dois ĂȘtre contente, bsa7tek!" C'est Ă©norme, je ne pensais pas qu'un homme mariĂ© pouvait ĂȘtre aussi peu concernĂ© par la grossesse de sa femme. J'Ă©spĂšre que tu lui as dit ce que tu nous Ă©cris? parce qu'une sĂ©rieuse discussion s'impose LĂ ... 31 oui malheureusement je suis seule aujourd'hui mes parents sont dĂ©cĂ©dĂ©s, je n'ai plus de waly Ă  part allah Allah irmhoum, dĂ©solĂ©e... Et quel Meilleur Garant que Allah? Celui qui t'aime plus que ta propre mĂšre ? Confies toi Ă  Lui ma soeur, lui te rĂ©pondra toujours d'une façon ou d'une autre 60. Et votre Seigneur dit "Appelez-Moi, Je vous rĂ©pondrai. sourate Al Ghafir 32 elle ne doit pas se taire et surtout dire qu'elle n’hĂ©sitera pas Ă  porter plainte. Oui c'est ce que je dirais la prochaine fois qu'il essaiera de me menacer 33 Salam "Tu dois ĂȘtre contente, bsa7tek!" C'est Ă©norme, je ne pensais pas qu'un homme mariĂ© pouvait ĂȘtre aussi peu concernĂ© par la grossesse de sa femme. J'Ă©spĂšre que tu lui as dit ce que tu nous Ă©cris? parce qu'une sĂ©rieuse discussion s'impose LĂ ... ne dramatise pas les paroles de cet indĂ©licat, ça risque de pousser la posteuse Ă  dramatiser encore plus sa situation alors qu'elle doit faire le contraire dans un premier temps. des fois la pire des rĂ©ponse qu'on peut donner Ă  une plaignante c'est "mskinaaaa ". ce "mskina" lĂ  fait des ravages et le but ici n'est pas de briser un couple mais au contraire l'aider Ă  se solidifier. tous les couples ont leur fragilitĂ© et la pĂ©riode de grossesse est une Ă©preuve Ă  surmonter en faisant le moins gaffe possible aux mots dĂ©placĂ©s. 34 Allah irmhoum, dĂ©solĂ©e... Et quel Meilleur Garant que Allah? Celui qui t'aime plus que ta propre mĂšre ? Confies toi Ă  Lui ma soeur, lui te rĂ©pondra toujours d'une façon ou d'une autre 60. Et votre Seigneur dit "Appelez-Moi, Je vous rĂ©pondrai. sourate Al Ghafir C'est trĂšs touchant j'en pleure au moment mĂȘme oui allah est notre seul garant...qu'allah te bĂ©nisse ma soeur Drianke Ű§Ù„Ù„Ù‡Ù… Ű„ÙŰȘŰ­ Ù„Ù†Ű§ ŰŁŰšÙˆŰ§Űš Ű§Ù„ŰźÙŠŰ± ÙˆŰŁŰ±ŰČÙ‚Ù†Ű§ من Ű­ÙŠŰȘ Ù„Ű§ Ù†Ű­ŰȘ۳ۚ 35 Tu ne connais pas trĂšs bien le processus...ça commence majoritairement par des mots puis ces mots deviennent des maux... Y'a aucun verset qui autorise de frapper sa femme, y'a un verset pĂ©dagogique pour les femmes adultĂ©riennes....et surtout il y a la Sunna pour expliquer ce verset... Les littĂ©ralistes n'ont pas trop de spiritualitĂ© ni de sagesse en gĂ©nĂ©ral...la culture machiste arabo prend le dessus allĂ© que le fouettage commence... WallahĂ» 'Alam oui mais elle va pas le dĂ©ranger pour des mots, les hommes violents ne disent pas "je vais te frapper" ils frappent directement. et s'il la frappe lĂ  elle peut voir son waly en espĂ©rant qu'il ne lui sorte pas le verset qui autorise le mari Ă  frapper sa femme.

Grossesseet couple : parlez, parlez beaucoup. Un homme ne peut pas Ă©prouver ce qu'Ă©prouve une femme. Vous ĂȘtes portĂ©e par une joie particuliĂšre, habitĂ©e par ce petit ĂȘtre qui grandit en

je suis enceinte de 7 mois, mon mari ne s'interresse pas du tout Ă  ma grossesse, Ă  ma santĂ© ni Ă  mon moral. j'ai arrĂ©tĂ© le travail et je m'occupe de chez moi, de tout ce qui est administratif, des courses, du tout ce qui concerne mon foyer, vu que lui il travaille tard, quant il rentre il mange et il va dormir. il refuse de sortir avec moi le week end pour faire les achats pour le bb ou quant il accepte il est tout le temps pressĂ© et de mauvaise humeur, par contre quant quelqu'un de sa famille a besoin de courses ou de petits bricolages il se rend rapidement disponible, ou bien quant l'une de ses soeurs nous invite Ă  manger, il va au courant et il reste trĂ©s tard le soir, et ca arrive presque tous les samedis et si moi je l'accompagne pas parceque je suis fatiguĂ©e 7 mois de grossesse quand meme il me traite de mal polie, ah aussi il m'engeule toujours pour les factures de telephone parceque j'appelle ma mere qui est Ă  l'etranger une fois il m'a meme dit que je voulais pas grandir et se detacher de ma mere, sachant que je l'appelle deux fois par mois seulement. dernierement, il commence Ă  me mentir concernanat l'argent et il a un tas de cachettes Ă  la maison ou il met son argent, ses papiers et parfois il cache des choses qui ne servent Ă  rien je lui ai jamais demandĂ© de l'argent puisque je travaille et j'ai mes revenus. qu'est ce que je dois faire avec lui Ă  votre avis? je suis trĂ©s fatiquĂ©e moralement, j'ai l'impression que je deviens depressive, je n'arrette pas de pleurer. EN SAVOIR PLUS >>> merci Ă  tous d'avoir prisle temps de me conseiller et merci pour les encouragement. je voulais juste prĂ©ciser que avant meme notre mariage il voulait un bb de moi, il me le reclamait toujours et quant j'ai pris la dĂ©cission de le faire il etait trĂ©s content, mais voila le rĂ©sultat aujourd'hui. discuter avec lui me semble impossible aujourd'hui, je l'ai fait des millions de fois et sincĂšrement je ne peux plus rentrer dans une conversation, expliquer pourquoi et comment, meme avec ma propre famille mere, frere soeure je n'arrive plus Ă  discuter sur ce sujet. j'ai plus tendance Ă  me renfermer. mais je suis consciente que c'est pas bon pour le bb et j'essaye tout mon possible mais tout ce que j'ai pour m'en sortir de cet etat, je le fais pour mon bb seulement. Bonsoir Je comprend ton resenti car le pĂšre de mes 2 premiere Ă©tĂ© pareil au bout de 7 ans je l'es quittĂ© car sa devenez impossible mĂȘme en parlant en fessant des efforts rien ne changer chez lui,dĂ©s que tout le monde l'appeler il bouger ses fesses mais moi non je les quitter car je n'en pouvez plus je suis maintenant avec un autre que sa fait 3 ans,avec qui je m'entend et avec qui sa se passe trĂšs bien et 2 autre enfants les 2 premiere comme j'ai la garde exclusif l'aime aussi et l'appelle papa mon conseil vos mieux ĂȘtre seule que mal accompagner Difficile de discuter avec quelqu'un qui refuse! Attitude prĂ©sente chez beaucoup d'hommes qui vont ĂȘtre pĂšres. La raison la peur ou devrais-je dire les peurs. Peur de ses futures responsabilitĂ©s, peur de ne plus ĂȘtre aimĂ©, de ne plus ĂȘtre le premier et le seul dans ton coeur, peur de ne plus recevoir ton attention, peur que tout ne soit plus que pour le bĂ©bĂ© Ă  venir. Ce qu'il cache dĂ©montre bien ses peurs. A les cachant, il est sur de les retrouver, pour lui,que pour lui. Tu fais des achats pour le bĂ©bĂ©, il cache de l'argent. C'est comme un enfant qui apprend l'arrivĂ©e prochaine d'un petit frĂšre ou d'une petite soeur. Il va dĂ©velopper ce mĂȘme sentiment d'inquiĂ©tude, de jalousie. Combien d'entre eux rĂ©pondent Ă  "tu lui prĂȘteras tes jouets" par un "non, c'est Ă  moi". Rassure ton mari en Ă©tant ou redevenant une femme aimante, sa compagne, sa maĂźtresse, sa complice. Ton attitude sauront mieux lui parler que des paroles. Ma fille a Ă  prĂ©sent 14 mois dĂ©jĂ , quand j'Ă©tais enceinte c'Ă©tait pareil avec mon mari, des disputes incessantes, des manque d'attention envers moi et mĂȘme une nĂ©gligence absolue quand je lui parlait. ma gynĂ©cologue m'a dit que mon mari m'aime beaucoup, c'est la grossesse qui me fait pleurer tout le temps et me mets sur les nerfs, c'est donc due aux hormones de grossesse et crois moi que tout s'arrange une fois que bĂ©bĂ© sera la, il m'a fait l'amour 2 semaines aprĂšs mon accouchement et il adore sa fille, mais quand j'Ă©tais encore enceinte, je voyais le contraire. il m'aime plus que tout au monde. Certains hommes ne maĂźtrisent pas le changement du physique de leur femme et du bĂ©bĂ© qui arrive bientĂŽt, ca vient petit Ă  petit. Bon accouchement et courage. avant tout il faut penser Ă  votre santĂ© et Ă  la santĂ© du BB ensuite laisse le faire ce qu'il voulait Ă  condition de le surveiller de loin parce que nous les hommes si on change du comportement envers celle que nous l'aimons et quelqu'un d'autres qui est entre en ligne Bonjour, La premiĂšre des choses, tu as 7 mois de grossesse, au dĂ©part c'est certain que tu es fatiguĂ©e et cela se comprend. Essaie de te reposer un peu, de ventiler en faisant des choses que tu aimes, de penser Ă  toi, tu es Ă  t'oublier et ce n'est pas quand le bĂ©bĂ© sera lĂ , surtout les premiĂšres semaines, que tu pourras et auras le temps de penser Ă  toi. Un petit conseil, tu en fais ce que tu veux d'accord? Cesse de tout prendre sur tes Ă©paules les responsabilitĂ©s du couple, du foyer. Comme tu as tes propres revenus, profites-en pour faire quelques Ă©conomies. Tu sais un bĂ©bĂ© n'a pas besoin d'ĂȘtre vĂȘtu comme un prince ou une princesse. Il a besoin d'amour, d'attention, de tendresse et bien sĂ»r de couches, de lait. Il n'a pas besoin de dormir dans "un carosse dorĂ©" en autant qu'il a un bon matelas et de bonnes couvertures et des pyjamas. Toi aussi tu as des besoins tant physiques que psychologiquesmaintenant et aprĂšs la naissance. Pense Ă  toi. Une bonne mĂšre ne peut l'ĂȘtre que dans la mesure oĂč elle est bien dans sa peau. Ensuite, laisse Ă  ton conjoint, ton Ă©poux le soin de se prendre en charge et de prendre des responsabilitĂ©s. Tant pis s'il fait des erreurs en les prenant ou en ne les prenant pas. ProtĂšge-toi financiĂšrement. Ce n'est pas parce que tu es en arrĂȘt de travail rĂ©munĂ©rĂ© que tu doives prendre toutes les responsabilitĂ©s! J'insiste, libĂšre-toi de certaines responsabilitĂ©s. Il lui incombre aussi de prendre les siennes! Il travaille beaucoup et puis aprĂšs? C'est maintenant qu'il doit rĂ©aliser qu'un enfant changera sa petite routine et qu'il doit faire sa part. Ce n'est pas aprĂšs la naissance de l' ne peut t'appuyer prĂ©sentement que fera-t-il quand le bĂ©bĂ© sera lĂ ? C'est toi qui demeureras Ă  la maison pour le garder et en prendre soin et lui il continuera comme avant comme si sa vie n'avait pas changĂ©? Je ne pense pas que ce soit ce que tu dĂ©sires n'est-ce pas? Alors vaut mieux qu'il le rĂ©alise tout de suite et prenne aussi les responsabilitĂ©s du foyer sur ses Ă©paules! Toi, si tu retournes au boulot aprĂšs la naissance de l'enfant, tu vas jouer Ă  la super woman pendant que lui se contentera de demeurer assis Ă  son bureau tranquillement et de sortir? DĂ©laisse certaines responsabilitĂ©s et observe sa rĂ©action. Tu verras s'il dĂ©sire s'impliquer dans votre couple ou s'il n'a pas l'intention d'y prendre part. Ne fais plus sa lessive pendant un petit verras quand il n'aura plus rien Ă  se mettre sur le dos, il apprendra bon grĂ© mal grĂ© Ă  utiliser la lui as parlĂ© et cela n'a pas fonctionnĂ© alors maintenant passe au cĂŽtĂ© pratique! Prends ta place et avant la naissance de l'enfant, c'est un conseil d'amie que je te donne sinon tu risques d'avoir encore plus de responsabilitĂ©s, d'ĂȘtre 2 fois plus fatiguĂ©e que maintenant et malheureusement de pleurer beaucoup plus que maintenant. Fais-lui passer le test et ne bronche pas mĂȘme si pour cela, tu dois sortir prendre l'air ou aller chez des certain qu'il n'en sera pas content, il est habituĂ© Ă  ce que l'on fasse tout Ă  sa place pour que lui puisse continuer de vivre comme si rien n'Ă©tait changĂ©. Il ne veut pas discuter alors rien de tel que de voir les consĂ©quences de sa non ouverture Ă  la discussion. Je sais que ce sera difficile mais c'est maintenant que la situation doit changer crois-moi. Allons un petit peu de courage pour toi et l'enfant. Une petite question Ă  laquelle il faut s'attarder cet enfant Ă©tait planifiĂ© ou si c'Ă©tait davantage toi qui dĂ©sirais un enfant? Pose-toi vĂ©ritablement la question mĂȘme si cela t'est pĂ©nible essaie de trouver la vĂ©ritable rĂ©ponse et non celle que tu souhaiterais qu'elle soit. Encore une fois, je sais que c'est difficile et cela risque de l'ĂȘtre davantage selon la rĂ©ponse mais quand tu lui auras laissĂ© une part des responsabilitĂ©s tu verras vraiment s'il est prĂȘt et mature pour avoir un enfant. Je sais que ma rĂ©ponse n'a rien d'encourageant mais crois-moi vaut mieux te poser les vraies questions maintenant. Ou bien, elles feront rĂ©flĂ©chir ton conjoint ou tu seras face Ă  une Ă©vidence et Ă  ce moment-lĂ , tu pourras davantage planifier la suite des Ă©vĂ©nements. Quoiqu'il en soit, pour l'instant, repose-toi et tant pis pour la poussiĂšre. Fais ce que tu peux dans une journĂ©e et surtout ne t'en rends pas coupable si tu n'as pas le temps de tout c'est toi et le bĂ©bĂ©. Le reste est bien relatif. Bonne chance ï»żMonmari ne me comprend pas forcĂ©ment, mais il essaie de me soutenir les jours anniversaires et de me changer les idĂ©es en passant la soirĂ©e avec moi. Les hommes en gĂ©nĂ©ral ne deviennent parents que quand le bĂ©bĂ© nĂ©, alors que nous devenons mĂšre dĂšs le dĂ©but de la grossesse, c'est pour cette raison qu'il ne peut pas forcĂ©ment comprendre.

Forum / Amour, Couple je suis enceinte de plus de 7 mois et je me sens vraiment relation avec mon mari a Ă©tĂ© abimĂ©e . il ne prend pas soin de moi, me cache des choses. je suis malheureuse... Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidĂ©o. La rĂ©ponse votĂ©e la plus utile Oui je devrais prĂ©ciservoilĂ  5 dimanches d'affilĂ© qu'il va se promener m'a interdit d'aller chez mes parents car ne veut pas que je prenne le train mais refuse de m'y emmenĂ©. aprĂšs 2 semaines d'attente j'y suis allĂ©e. il en a profitĂ© pour sortir avec une "amie" sans m'en parler. le pire c'est qu'il l'a invitĂ© avec notre compte passe le faite qu'il ne m'accompagne ni aux consultations ni Ă  la prĂ©parations de l'accouchement. je passe le fait qu'il n'a jamais toucher mon je suis Ă  bout... J'aime Oui j'en suis fais beaucoup pour lui et j'ai peu en retour. si je comprends bien, d'aprĂšs toi, c'est la femme et ses hormones qui sont Ă  la base de cette situation ? J'aime Meilleure rĂ©ponse Oui je devrais prĂ©ciservoilĂ  5 dimanches d'affilĂ© qu'il va se promener m'a interdit d'aller chez mes parents car ne veut pas que je prenne le train mais refuse de m'y emmenĂ©. aprĂšs 2 semaines d'attente j'y suis allĂ©e. il en a profitĂ© pour sortir avec une "amie" sans m'en parler. le pire c'est qu'il l'a invitĂ© avec notre compte passe le faite qu'il ne m'accompagne ni aux consultations ni Ă  la prĂ©parations de l'accouchement. je passe le fait qu'il n'a jamais toucher mon je suis Ă  bout... J'aime En rĂ©ponse Ă  feinda_1722141 Oui je devrais prĂ©ciservoilĂ  5 dimanches d'affilĂ© qu'il va se promener m'a interdit d'aller chez mes parents car ne veut pas que je prenne le train mais refuse de m'y emmenĂ©. aprĂšs 2 semaines d'attente j'y suis allĂ©e. il en a profitĂ© pour sortir avec une "amie" sans m'en parler. le pire c'est qu'il l'a invitĂ© avec notre compte passe le faite qu'il ne m'accompagne ni aux consultations ni Ă  la prĂ©parations de l'accouchement. je passe le fait qu'il n'a jamais toucher mon je suis Ă  bout......avant ta grossesse comment se comportait il?car lĂ  ça sent pas bon et le fait que tu sois Ă  bout se comprend, peut ĂȘtre devrait tu prendre un peut de distance et partir quelques temps chez tes parents si c'est possibletu dois te mĂ©nager J'aime Le problĂšmec'est que je n'ose en parler Ă  personne. de l'extĂ©rieur on fait le couple idĂ©al. il ne m'aide que lorsqu'on a des invitĂ©s. toutes les taches menageres sont pour ma poire. il ne me dĂ©sire plus. je fais pourtant des efforts bien habillĂ©e, coiffĂ©e et maquillĂ©e malgrĂ© ma fatigue. il s'en fout...que faire ? j'en viens Ă  me demander s'il ne me trompe pas... J'aime Vous ne trouvez pas votre rĂ©ponse ? En rĂ©ponse Ă  gina13235473 ...avant ta grossesse comment se comportait il?car lĂ  ça sent pas bon et le fait que tu sois Ă  bout se comprend, peut ĂȘtre devrait tu prendre un peut de distance et partir quelques temps chez tes parents si c'est possibletu dois te mĂ©nager Je suis allĂ©e5 jours chez mes parents. il n'a pas daignĂ© me tĂ©lĂ©phoner. personne est au courant de ma situation alors n'ai pas voulu rester plus il Ă©tait trĂšs romantique et notre mariage moins, et depuis ma grossesse encore moins... J'aime En rĂ©ponse Ă  feinda_1722141 Je suis allĂ©e5 jours chez mes parents. il n'a pas daignĂ© me tĂ©lĂ©phoner. personne est au courant de ma situation alors n'ai pas voulu rester plus il Ă©tait trĂšs romantique et notre mariage moins, et depuis ma grossesse encore moins...DĂ©solĂ©mais pour lui tu es un "acquis", tu ne parles pas de vos problĂšmes Ă  tes proches donc tu fais comme si tout allais bien donc comme tu fermes les yeux et comme monsieur choisit la facilitĂ© il fait comme toi "depuis notre mariage moins, et depuis ma grossesse encore moins..." la suite si tu laisse faire est Ă©videnten'est pas honte de ne pas ĂȘtre le couple idĂ©ale personne l'est , et parles en J'aime En rĂ©ponse Ă  gina13235473 DĂ©solĂ©mais pour lui tu es un "acquis", tu ne parles pas de vos problĂšmes Ă  tes proches donc tu fais comme si tout allais bien donc comme tu fermes les yeux et comme monsieur choisit la facilitĂ© il fait comme toi "depuis notre mariage moins, et depuis ma grossesse encore moins..." la suite si tu laisse faire est Ă©videnten'est pas honte de ne pas ĂȘtre le couple idĂ©ale personne l'est , et parles enC'est compliquĂ©on parle beaucoup lui et moi. il me trouve exigeante et parano. mais au moindre petit couac il va me faire la gueule, refuser de m'adresser le moindre mot pendant des jours. je craque toujours la 1Ăšre car ne peux vivre avec qq1 en s'Ă©vitant. il ne s'excuse jamais. lui a beaucoup d'amis et de famille mais moi suis seule. ma famille et mes amis sont Ă  plus de 5h de chez nous. il est tout ce que j'ai rĂ©gler les choses quand il refuse de reconnaitre le pb? J'aime Mon avisJe ne connais pas la complexitĂ© de votre relation mais si j'Ă©tais Ă  ta place voilĂ  ce que je ferais il ne prend pas soin de toi? Toi prends soin de toi, recentre toi sur ta santĂ©, ton bien ĂȘtre et celui de ton dis que tu prends soin de lui et qu'en retour tu n'as pas la moindre attention? Et bien, ne t'occupes plus de lui, simplement le minimum, et encore...HonnĂȘtement, ça me parait mal barrĂ© mais il faut que tu te demandes une chose qui va s'occuper de toi et de ton enfant si ton mari ne joue pas son rĂŽle? personne et il faudra que tu assures pour 2 et que donc tu reprennes le te souhaite bonne chance et j'espĂšre vraiment que tout va s' 2 - J'aime

.